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  • Fornication de Barbarin

    Commençons par dire ceci : la société occidentale procède à l'élimination de plusieurs centaines de milliers de foetus chaque année au nom du progrès social, idole des temps modernes ; la pitié manifestée par certaines associations vis-à-vis de la souffrance des animaux ou des attentats à la pudeur commis sur des enfants par des clercs de l'Eglise romaine relève donc de la pure hypocrisie - ou bien elle émane de personnes sincères, mais complètement idiotes, ce qui ne vaut pas mieux.

    Le processus d'élimination massif de centaines de milliers de vies fait l'objet d'un large consensus qui s'étend à l'Eglise catholique et ses représentants, dont les vagues protestations occultent la solidarité avec les plus hautes autorités de l'Etat.

    Ajoutons que la culture bourgeoise est une culture pédérastique, qui constitue par conséquent un terrain favorable à l'utilisation d'enfants comme objets de plaisir sexuel ; cette culture pédérastique encourage l'immaturité et les comportements régressifs chez l'adulte. La pédérastie catholique romaine dépasse largement le cadre des personnes incriminées selon le droit pénal.

    En ce qui concerne les "crimes sexuels", c'est-à-dire les rapports sexuels qui peuvent faire l'objet de poursuites pénales et dont les services de police indiquent que la famille est le cadre privilégié, les évangiles sont muets pour la simple et bonne raison que les évangiles et le Messie condamnent explicitement et ABSOLUMENT la "chair" en général. Du point de vue évangélique, la vie sociale est marquée de façon indélébile par le péché.

    Représentent donc la "fornication", sur le plan théologique, non pas tel ou tel crime sexuel condamné ou condamnable dans telle ou telle société, mais la tentative catholique romaine de réhabiliter la chair - on peut en particulier citer sur ce point la pseudo-théologie dudit "pape Jean-Paul II". Celui-ci, en inventant une "bonne sexualité" et une "mauvaise sexualité", contredit le point de vue évangélique selon lequel il n'y a pas de sexualité pure.

    La fornication est le péché le plus grave, de trahison de l'esprit de l'Evangile. Si le Christ a prévenu ses apôtres contre la faiblesse de la chair, c'est afin de leur ouvrir la voie du salut ; si le clergé catholique romain fait l'inverse, c'est afin de barrer la route du salut, selon le mandat de Satan.

    Les prélats romains J. Ratzinger et S. Lalanne, quand ils invoquent les ressources de la psychanalyse, font l'aveu indirect de leur fornication - car la médecine psychanalytique n'a pas voix au chapitre parmi les chrétiens, mais seulement au sein du complot de veuves et de pharisiens. Sigmund Freud, pape de la psychanalyse, n'a-t-il pas déclaré : "Tout est sexuel !", niant ainsi implicitement le salut ; n'a-t-il pas insulté le prophète Moïse en le traitant de voyou ?

    Les couleurs de la fornication selon l'évangile sont le pourpre et l'écarlate ; lorsque le cardinal Barbarin, soi-disant "primat des Gaules", proclame que "c'est un devoir chrétien de voter", voilà le péché de fornication constitué, car il commet ainsi un attentat contre l'esprit des évangiles.

    La prétention du citoyen démocrate-chrétien à jouer un rôle dans la Cité, rôle que le Messie a explicitement refusé de jouer, enjoignant ses disciples de "rendre à César ce qui est à César" (et qui ne vient donc pas du Christ), cette prétention fait des représentants de la démocratie-chrétienne, qu'ils se disent prêtres ou laïcs, de parfaits imposteurs.

    Chrétiens fidèles, nous devons combattre ces imposteurs comme le Christ fit avec les pharisiens, non pas personnellement mais leur doctrine, instrument conçu par Satan pour semer la zizanie au sein de l'humanité. La culture bourgeoise occidentale est le produit, la manifestation de cette zizanie.