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Devoir de violence

Il y a un devoir toujours plus pressant, c'est le devoir de faire violence aux démocrates-chrétiens - la violence de Bloy, celle de Céline, de Waugh, de Bernanos, de Nabe…

Les démocrates-chrétiens c’est des moutons, un gigantesque troupeau de brebis bêlantes. Contre des moutons qui vont paître là où le dernier type armé d'un bâton leur intime l’orde, et se laissent tondre docilement, il n'y a que des chiens de bergers hargneux !

Dans l'"affaire Littell", les démocrates-chrétiens une fois encore se distinguent par leur complaisance. J'en veux pour preuve l'hebdomadaire Famille chrétienne, cette revue soi-disant “papiste”, parfois disponible à la sortie de l'église sur un présentoir, et qui en dit plus long sur le curé qu’un long sermon. Famille chrétienne s'est fait une spécialité de commenter le programme télé de la semaine, en particulier de signaler à ses lecteurs dans les films et feuilletons chaque séquence érotique ou violente et de mieux leur conseiller ainsi de se rabattre sur toutes les niaiseries qui passent, d’Amélie Poulain au dernier navet de Spielberg en passant par les Enfants du marais, en guise de pain spirituel quotidien.

Eh bien Famille chrétienne a cru bon de publier un reportage commandé à un journaliste du Figaro, Étienne de Montéty, quatre pleines pages avec photos (!) sur Les Bienveillantes de Littell, afin de dire tout le bien qu’il faut penser de cette compilation de contrevérités historiques et de maladresses stylistiques, cette pornographie de gare :
« Un jour, je trouvai un arbre couché de travers, renversé par une tempête, avec une branche cassée sur le haut du tronc, et avec un canif je raccourcis encore cette branche, en ôtai l'écorce et en polis le bois, arrondissant soigneusement le bout. Puis, la trempant copieusement de salive, je me plaçai à califourchon sur le tronc et, m'appuyant sur mes mains, enfonçai lentement cette branche en moi, jusqu'au bout. Cela me donnait un plaisir immense, et tout le temps, les yeux clos, ma verge oubliée, j'imaginai ma sœur faisant la même chose, etc. »

Difficile de faire plus ridicule que cette tempête, cette bave copieuse et cet “immense plaisir”… Mais si Famille chrétienne, Le Figaro et même l’Académie française disent que c’est bien, alors ça doit sûrement l’être, ma bonne dame… « Bêê !!! bêêê !!! bêêêê !!! »

Commentaires

  • Lapinos : un peu plus d'objectivité... mentionnez aussi qu'il n'y a pas que cela dans ce livre. Et que des scènes semblables se retrouvent dans d'autres livres. Je pense par exemple à la "voie végétale" de Vendredi ou les limbes du Pacifique. Voie végétale qui se finit d'une piteuse et drolatique façon, au demeurant.

  • L'objectivité veut que je dise qu'il y a des dizaines et des dizaines de passages de ce niveau-là dans le pavé de Littell ! De "Vendredi", je ne connais que la vie sauvage, la version abrégée pour les enfants, pas mal d'ailleurs, alors prenons plutôt l'exemple de "Mort à crédit", si vous voulez bien.

    Les crudités de Céline ne sont pas gratuites, les putes gourmandes de Céline, ces femelles à puceaux, c'est du Rabelais, on se tape sur la cuisse. Ça peut choquer aussi, je vous l'accorde, le lectorat démocrate-chrétien d'abord, c'est pas du Jean d'Ormesson, c'est sûr. Le problème encore une fois c'est quand la vulgarité est gratuite. Littell, c'est du sadisme de "sex shop", de petit branleur dans le salon de son papa avec ses vidéocassettes, qui zappe ensuite sur des films de cadavres. Ce type est allé trop au cinoche, c'est ça la "problématique", comme dit votre pote Sombreval !

    Prenez cette histoire de branche, c'est complètement invraisemblable, imaginez vous dans la forêt (je vous rappelle que Max Aue est un type banal), tailler une branche avec un opinel, cracher dessus ensuite et tenter de vous la fourrer dans le cul pour jouir. Quel gag ! C'est la pédérastie expliquée à mon filleul pour l'effrayer ou quoi ?

    Je crois que je suis assez "objectif" quand je dis que c'est un scandale que l'Académie française ait primé cet étron (Est-ce que Lustiger a voté pour ?) et que des gazettes catholiques recommandent à leurs lecteurs de le ranger dans leur bibliothèque de famille (chrétienne).

  • Encore une façon de jouer avec l'exactitude Lapin, Famille chrétienne n'a rien de démocrate chrétien.
    Je vous pensais meilleur connaisseur de ces mondes.

  • Ah bon, et qu'est-ce alors ? Je suis curieux de vos lumières sur ce nouveau point… Lepéniste ?

  • Vous pouvez éventuellement comparer FC avec des journaux comme la Croix, comme la Vie catholique, ou encore comme le Pélerin. Vous verrez alors de grandes différences. Beaucoup de ceux qui font FC sont qualifiés d'intégristes par la bien-pensance. Je dois reconnaître que vous faites preuve de plus d'originalité.

  • Ah! Je ne suis pas au courant du tout de l'actualité littéraire, et je m'en fous un peu, mais là c'est réellement une honte. Je ne pense pas que Lapin ait inventé le passage cité, et qu'un seul extrait de ce genre devrait suffire à mettre aux ordures la totalité des oeuvres de l'auteur. Comment l'expression vulguaire d'un malaise d'adolescent à tendance scatophile peut-il être primé par l'Académie Française? On peut le dire: "tout fout le camps".

  • Que de livres dans les ordures !

  • Je vous trouve au bout de votre histoire, Lapin, avec ces billets obsessionnels sur un livre que vous detestez. On ne vous a pas vu écrire autant sur vos admirations, c'est mauvais signe. Y'a un côté pauvre type dans tout cela, comme dans vos édifiants commentaires qui se terminent le plus souvent par quelques doucâtres insultes à l'endroit de vos contradicteurs, du genre de celui que vous avez fait à Ornythorinque. Si au moins, on y voyait un peu de style et d'éclat... Mais non, juste une rage blême, infantile, en dessous, tellement en-dessous des objets de cette colère qui voudrait singer de biens plus grands que vous. Vous êtes une sorte de prototype terminal de cette époque éructante et fatiguée. Ce serait heureux que la personne derrière ce bloc de conneries fut un peu plus complexe. D'ailleurs je n'en doute pas, mais ce n'est pas le lieu...
    Salut.

  • *Le Devoir de violence* : prix Renaudot 1968.

  • Alors Coco Lapin, on craque?
    Si j'avais du temps à perdre à entrer dans votre petit jeu - effectivement celui d'un pauvre type - en me prêtant à cette escalade de "violence" (bien vaine et très confortable, contrairement à celle des Bloy, Bernanos, Céline, Waugh et Nabe... ou encore de celle de Péguy cet ami des Youtres, qui en payèrent le prix dans le chair, en quoi est-ce votre cas dans votre croisade de lapin-nain contre les démocrates-chrétiens?), je pourrais vous dire, entre autres choses, que pas plus que la laideur et la bêtise de l'antisémitisme n'enlève quoi que ce soit aux pouvoirs effectifs de la juiverie dans le monde des zarzédeslettres qui pour moi, entre autres lobbies, ne fait absolument aucun doute, voir affaire Camus, - (et que de votre côté je constate que vous n'avez jamais non plus le courage de dire nommément, préférant la perfidie collaborationniste) , pas plus que cela donc, les citations ouvertement philosémites de Bloy (que je vais recopier ci-dessous pour la deuxième fois, et à laquelle vous ne manquerez sans doute pas d'apporter à nouveau une petite saillie hors-sujet, cynique et contente d'elle-même) ne signifient qu'il était à la solde du Grand Rabbin, pas plus non plus encore que le refus de la main tendu des juifs au "Salut par les juifs" ne change l'intention primitive de Bloy, ou pas plus encore, puisqu'il semble que cela vous ait quelque peu travaillé, que le 16ème de sang youde qui coule dans mes veines ne m'empêche d'apprécier Coston ou Ratier ou encore d'avoir eu également une autre partie de mon ascendance très antijuive...

    Mais alors, non seulement je m'exposerais à quelque nouvel artifice rhétorique de votre part, soit par une réponse un petit peu à côté, qui donnerait l'impression fausse que vous me répondez effectivement, ou encore en extrapolant mes propos et en les assimilant par le plus petit dénominateur communs à des propos tenus par d'autres que moi, non seulement, mais en plus je ne suis pas sûr que vous seriez capable de comprendre un discours autre que méchamment binaire (à votre décharge toutefois, votre problème avec les juifs ne vous a pas rendu pour autant pro-arabe comme Nabe ou Soral...). Vous êtes aveuglés par la testostérone dans laquelle vous trempez votre plume et qui vous sert de liquide rachidien. Cervelle et âme de lapin. En fait vous êtes un bobo de droite, un Dieudonné National.

    Donc pour briser là, voici à nouveau la citation de Bloy et aussi la copie de la réponse totalement stupide que vous y aviez fait lors de ma première transmission :


    "Je suis l'auteur d'un livre, le Salut par les Juifs, qui est, certainement et indiscutablement, ce qu'on a écrit de plus généreux et de plus fort POUR les juifs, dans le monde chrétien, depuis le XIe chapitre de l'Epître aux Romains, effort inouï dont aucun juif ne s'est aperçu. La page du Mendiant n'est qu'un rappel de ce livre. En somme, j'affirme qu'il est aussi téméraire de toucher à la Race juive qu'au Saint Sacrement"

    Ecrit par : OrnithOrynque | vendredi, 03 mars 2006

    « Ce que vous faites au plus petit d'entre vous, c'est à moi que vous le faites » : pour n'oublier aucun génocide.
    Ecrit par : Lapinos | vendredi, 03 mars 2006


    Avez-vous bien lu Garenne simplette : "En somme, j'affirme qu'il est aussi téméraire de toucher à la Race juive qu'au Saint Sacrement".


    Sébastien : où avez-vous que j'étais occultiste?

    Ecrit par : Ornithenstein | samedi, 11 novembre 2006

  • C'est une conspiration, non ? Parce que je déteste l'autoflagellelation, mais à force de s'agiter comme des imbéciles devant ce Littell, on va finir par le confondre avec un génie.

    Ce livre est mauvais, c'est indéniable. On pourrait à la rigueur lui pardonner d'être vide, vain et d'aborder un thème éculé, mais pas la pauvreté de son style. Même pour une traduction yankie, c'est mal ! Et je ne comprends pas que toute personne dotée d'un tant soit peu de bon goût ne partage pas cet avis.

    Alors, pourquoi est-ce que depuis cinq jours, quand ce n'est pas sur ce blog, c'est un ami, la radio, la télé ou même ma mère ( qui, pourtant, lit Céline ; ce que j'ai toujours condidéré comme une excuse suffisante pour ne pas moi-même m'y plonger) qui me rappelle l'existence de ce livre ? Vraiment, c'est devenu la conversation de salon petit bourgeois à la mode sur laquelle il faut absolument avoir un avis de préférence tranché. (Il faut dire que ça a nettement plus de classe que de savoir qui fera la tournée StarAc.)

    Le seul trait de génie qu'on peut reconnaître à l'auteur, c'est d'avoir écrit un livre assez ouvert que pour permettre la polémique actuelle qui le fait vendre.

    Vous n'appréciez pas Littell ? Bien ! Alors, arrêtez donc d'en parler qu'on oublie au plus vite ce triste livre, parce qu'ici prendre position contre, c'est suciter les vocations pour. Puis, de toute façon, je reste persuadée que blog et intellect ne font pas bon ménage.

    J.

  • Je pensais que vous alliez me dire que "Famille chrétienne" était un magazine "ultramontain", Desavy. Vous ne faites que dire qu'il est moins démocrate-chrétien que "La Vie" (qui n'est plus catholique), "Télérama" ou "Ouest-France". Admettons. Il m'a paru plus significatif de prendre l'exemple d'une revue qui se donne encore les apparences d'une revue chrétienne.

    Cette récupération de Bloy à des fins douteuses, histoire d'entretenir la fiction selon laquelle la littérature de Drumont hanterait encore tous les Français qui n'attendraient qu'une occasion propice pour se ruer sur leurs voisins juifs et les égorger, c'est amusant parce qu'ils ont essayé de faire la même chose avec Claudel dans la très snob revue démocrate-chrétienne "Commentaires". Là encore c'est complètement idiot et manichéen, car Claudel, s'il a tenu des propos "philosémites" dans sa correspondance avec des amis Juifs, a tenu aussi des propos, comme Bloy, sur les Juifs, que nul n'oserait tenir aujourd'hui dans une société aussi répressive. On pourrait tout aussi bien faire la même chose avec Céline ! Faire un recueil de ses citations philosémites. Albert Paraz l'avait fait, d'ailleurs, pour bien montrer que le but était de dégommer Céline avant tout.

    L'idiotie et le manichéisme peuvent te paraître deux phénomènes bénins, Jeanette, ce n'est pas mon cas. Je suis curieux de voir si le bouquin en préparation sur Littell, a priori pas très dur, qui se contente de dénoncer la fumisterie complète de l'auteur, sans faire le procès d'intention qu'il y a lieu de faire selon moi, si ce bouquin va vraiment sortir. Car l'éditeur et les auteurs de ce bouquin peuvent s'attendre à ce que la "somme théologique" de Littell soit défendue sur toutes les ondes de télé et de radio comme s'il s'agissait de la torah !

    (Tu n'aimes pas les blogues, Jeanette, mais reconnais que ça permet au moins à des gens différents qui ne se fréquenteraient pas autrement, des fans de Littell et ceux qui trouvent cette littérature consternante, des ornithorynx et des lapins, des musulmans et des cathos, des fillettes et des adultes, de se causer un peu...)

  • C'est vrai que les passages de Littel sont vraiment horribles, je comprends que ça te mette en rogne, Lapinos..reste comme tu es, ne change pas!!

  • Je n'ai pas dit que je n'aimais pas les blogs. J'ai juste souligné qu'il était très difficile de faire cohabiter quelques notions intellectuelles (de surcroît engagées) et le concept de blog tout en restant digeste à lire pour les non-initiés ou les incultes. Catégories dans lesquelles je me classe de bonne grâce. Il n'y a rien de plus frustrant que d'être totalement hermétique à certaines références, probablement très savoureuses. Par contre, le blog prétexte à échanges, dans une certaine mesure, oui.

    A ce propos, c'est peut-être pure paranoïa de ma part, mais si le "fillette" m'était destiné, c'est un terme qui réellement ne cesse de m'agacer qu'au lit.

  • tout à fait intéressant. Merci e m'avoir dispensé de lire cette coqueluche du temps.

  • Désolé, Sébastien, mais je craignais que votre causerie un peu hybride avec un ornythorinx ne dégoûte des jeunes gens qui n'ont pas lu "Le Journal" de Bloy et qui passeraient éventuellement par ici de le lire.

    Dorénavant ceux qui n'ont pas de permis de séjour sur ce blogue, je pense notamment à tous les bobos et à tous les démocrates-chrétiens de gauche comme d'extrême-droite devront se contenter de quelques lignes concises ici. Ce blogue a trop longtemps fonctionné de manière démocratique. Il est temps que ça cesse !

    (Jeanette, j'aime mieux quand vous vous exprimez avec naturel et que vous ne cherchez pas à vous faire passer pour une grande personne : chaque chose en son temps, pourquoi chercher à brûler les étapes ?)

  • Je suis ennuyée Garenne car selon vos petites cases de naguère, j'étais bobo... En toute logique, je conclus de vos derniers propos, que je n'ai pas de permis de séjour chez vous. Soit, après tout.

    [Voilà à quoi mènent vos cases Monsieur...]

    A toutes fins utiles, pourriez-vous nous dresser le portrait type de la personne que vous souhaiteriez voir fréquenter votre terrier. Cela sera plus simple je pense pour vos lecteurs à venir...

  • Le pavé en question n'est qu'un "hoax" littéraire fabriqué de toutes pièces sans doute par un "pool" de scénaristes-maison ( le mot "nègres" étant interdit) avec toutes les recettes voulues pour "revisiter l'Histoire, choquer le bourgeois et surtout VENDRE , VENDRE, VENDRE... Et comment faire vendre ? En "matraquant" dans les médias et en en faisant parler partout... Oublions ce Littell qui sans doute n'existe même pas et ce ridicule bouquin qui ne mérite pas tous ces débats...

  • C'était quoi déjà le nouvel emblème que vous proposiez en guise de totem national? L'autruche? La dernière des autruches ? Remarquez il y a des dernières qui seront des premières... J'ai l'intime conviction que Bloy eût encore préféré la conspiration du silence que de tomber dans les mains d'héritiers amis du mensonge, dont le père est qui vous savez. Le problème n'est pas que vous soyez dans l'erreur, mais que, connaissant cette erreur en votre tréfonds, vous vouliez tout de même la faire passer pour la vérité.
    Allez au revoir petit bobo de droite, adios lapinnos, tu ne me reverras plus de sitôt dans ta turne, bon débarras diras-tu!
    Je te souhaite de bons plans culs.

  • Merci pour les plans culs, l'ornitho, même si je ne suis pas sûr que ça parte d'une bonne intention.
    Pour le reste je n'ai rien compris, sinon que vous souhaitez un nouveau Léon Bloy pour venir en aide aux Juifs qui se sentent insultés par Dieudonné et Le Pen.

    Vous me posez une colle avec votre portrait-type, Madame. Ma mesure de prophylaxie vise avant tout à diminuer la longueur des dialogues, non pas l'intensité. Je dirais qu'à cet égard votre mari est plutôt un bon exemple, même si je ne suis presque jamais d'accord avec lui, ce qui est bien normal, je ne me sens pas oppressé par ses propos du tout.

  • Le syndrome du clapier? Cachons cette vérité que vous ne sauriez voir ?
    Rebelote et dix de der !
    J'ai du faire un reve etrange et ...

  • Tiens, une revenante…

  • Mon email ne sera pas publié, car souvent femme varie et mascarade d'outre tombe...

  • Je me plains, je me plains, mais je vois bien que votre métier d'infirmière ne vous laisse pas complètement intacte non plus, Danielle.

  • Grâce à la Bête égorgée je me porte à merveille cher Lapinosse, merci pour tout LEVOTHYROX*.

  • Vos anathèmes et insultes sur ce roman de gare sont probablement révélateurs de votre mépris pour :
    en vrac - le peuple , la plèbe
    - le succès , suspect forcément
    - l'autre , en ce qu'il pense ou aime différement de vous .

    Vous êtes chrétien , version Boulogne boys , sans doute ... ou Torquemadiste ?
    Moi , j'assume mon goût pour ce livre : je fais donc partie du peuple des rats ... , pas de la caste des lapinos albinos .
    Mais je me console en relisant les Ecritures
    Heureux les simples d'esprit , car ...

  • Sauf que Guy des Cars a beaucoup plus de talent que votre Littell. Disons qu'il est capable d'écrire français, des Cars, ce qui n'est pas le cas de Littell. Je n'ai pas le mépris de la plèbe au point de souhaiter qu'elle se vautre dans des romans mal écrits.

    Quant au succès d'un livre, il n'est pas toujours justifié par de bonnes raisons. Mais lorsqu'il est exclusivement le fait du matraquage publicitaire, ma foi, je crois qu'il est abusif de parler de succès littéraire.

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