- « Il y en a assez à la fin de cette vulgate marxiste ! » Henri Guaino.
Il ne fait pas de doute que les discours de Guaino, mélange de slogans républicains moisis et de néocolonialisme kouchnérien chic et bidon sont beaucoup plus utiles et scientifiques que la “vulgate marxiste”.
Je mets au défi n'importe quel bourgeois, qu'il soit républicain, socialiste, démocrate-chrétien, libertaire ou maurrassien, de dire en quoi la société contemporaine est "marxiste".
Commentaires
La victime a toujours raison.
L'ennemi est le fasciste. avant c'était le bourgeois.
La victime est l'immigré. avant c'était le prolétaire.
On est dans une société marxiste racialement.
L'organisation des monuments historiques en france est soviétique, ( sans en avoir l'efficacité relative..! )
Quand au monde de l'art, avec ses artistes d'état fonctionnaires subventionnés il est totalement marxiste, avec l'exception bien francaise qui consiste a favoriser particuliérement la vulgarité, le laisser aller et l'inculture.
Et pourtant a l'est les bolcheviques ont longtemps imposés une rigueur dans leurs académies des beaux arts
Is avaient tenus plus longtemps que nous face a la cocacolaisation du goût.
L'organisation des monuments historiques en france est soviétique, ( sans en avoir l'efficacité relative..! )
Quand au monde de l'art, avec ses artistes d'état fonctionnaires subventionnés il est totalement marxiste, avec l'exception bien francaise qui consiste a favoriser particuliérement la vulgarité, le laisser aller et l'inculture.
Et pourtant a l'est les bolcheviques ont longtemps imposés une rigueur dans leurs académies des beaux arts
Is avaient tenus plus longtemps que nous face a la cocacolaisation du goût.
"Soviétique", ce n'est pas "marxiste". Vous pourriez aussi bien dire "jacobine" ou "colbertiste", ce qui serait plus exact. Les soviets n'ont pas inventé la centralisation, régime qui produit le meilleur ou... le pire, tout dépend qui est à la tête.
Je vous fais observer que Pinault et Arnault, éminents représentants de l'oligarchie de Philistins qui nous gouverne, peuvent à peu près disposer de leurs pactoles comme ils le désirent et qu'ils choisissent d'ouvrir des parcs d'attractions pour bobos, sur le modèle du musée Dali ou de Beaubourg.
Si l'art russe n'est pas aussi décadent, c'est parce que les principes communistes, et donc marxistes, ne sont pas décadents comme les principes libéraux. Le problème c'est que la Russie n'a pas une tradition artistique forte comme celle de l'Italie ou de l'Espagne.
(Je vous fais observer que les artisans ont constitué le premier auditoire de Marx, et ce n'est pas un hasard : parce que la pensée de Marx est concrète, historique, également parce que les artisans ont perçu dès le début la menace que le capitalisme représentait pour leur mode de production, et donc pour la civilisation en général.)
"Le sécularisme qui porte le sceau de l'Occident, différent et sans doute plus sournois que celui du marxisme, présente des signes qui ne peuvent que nous préoccuper".
Ben voilà, pour Benoît XVI, le sécularisme de l'occident est dans le même panier que celle du marxisme ! Vous voyez, l'Eglise rejette le marxisme... Mais bon, sans doute pour vous, Lapin Brummell, le Pape est dans l'erreur !
Je vous le préfère, ne m'en veuillez pas, hein ! je pense qu'il comprend les choses mieux que vous...
Le problème n'est pas tant de savoir si le pape comprend mieux les choses que moi ou pas, la première chose à voir c'est que sa liberté d'expression est beaucoup plus limitée que la mienne.
Sur le plan politique, en outre, Benoît XVI est acculé à la diplomatie. Que les manières désinvoltes de Sarkozy lui plaisent ou non, il est bien obligé de le recevoir.
Si vous êtes un peu attentif aux déclarations du pape, et que vous ne retenez pas comme les démocrates-chrétiens que ce qui vous arrange, la théologie mais pas l'appel à la dissidence, vous avez dû vous rendre compte que le discours de Joseph Ratzinger a évolué au fil des années. Progressiste-réformateur d'abord, il est devenu ensuite plus conservateur, tout en restant attaché aux valeurs démocratiques, avant d'évoluer vers une position quasiment "maurrassienne", critiquant la dérive "rationaliste" de l'Occident. Il est donc permis d'espérer que le pape tienne un jour un discours véritablement catholique et révolutionnaire. Un tel discours supposerait une véritable rupture avec les valeurs et la politique des Etats-Unis. Vous comprenez bien que, dans ce contexte, le financement du Vatican par les riches paroisses yankies pose un problème. La liberté de parole de Benoît XVI est donc très relative.
Mais, même en tant que communiste (le dernier des communistes français), je n'assimile pas Benoît XVI à cet imbécile heureux de Sarkozy.
Eh bien vous aussi, quand vous serez plus vieux, vous serez un peu moins révolutionnaire, un peu moins con et un peu plus con...servateur !
Mais vous êtes plus maurrassien que le pape, mon cher Lapin, car sa révolution à lui, c'est celle de l'Amour et la vôtre est encore dans les arcanes de la lutte politicienne car vous ne semblez toujours pas avoir compris ce que veut dire "mon royaume n'est pas de ce monde"...
Mais bon, pour aujourd'hui, merci de reconnaître tout de même au Pape un bon sens diplomatique ! Celui-là non plus, vous ne l'avez pas, et c'est pour cela qu'on vous aime ! (tiens, Rose me manque, je fais un transfert, méfiez-vous ;-))
Maurrassien, moi, vous rigolez ou quoi ? C'est vrai que Maurras proclame la supériorité de la politique, à la suite d'Aristote, de saint Paul, de tous les papes avant la décadence (Benoît XVI est enfermé dans la sphère privée, bon gré mal gré), mais le problème c'est que Maurras, comme Rousseau, n'entend rien à la politique, il agite des utopies.
Il n'y a que vous pour penser que "Mon royaume n'est pas de ce monde" signifie qu'on peut laisser les crétins et les escrocs faire la pluie et le beau temps sur cette terre, asservir les plus faibles à la politique de consommation et de croissance meurtrière.
Même un dominicain ou un jésuite progressiste ne pourrait pas cautionner l'interprétation débile de l'Evangile que vous insinuez. Peut-être un journaliste de "Valeurs actuelles", salarié de l'industrie de l'armement, mais c'est tout.
Sarkozy est philosophiquement marxiste.
Sarkozy comme tous les représentants de commerce, avocats, médecins ou curés démocrates-chrétiens, a une philosophie pour chaque jour de la semaine.