On vous dit et répète que "l'heure de la femme" est venue, ou que "le sexe faible est devenu fort". On vous prend pour les derniers des cons. Comprenez : "L'heure de l'objet est venu."
Depuis toujours la femme se confond avec l'objet, et l'ustensile avec la femme. Ustensile plus ou moins noble, protégé de la convoitise du voisin par le voile, soumis aux transactions libérales dans les vitrines de Paris ou New York.
La quête nazie de l'identité tend à semblable négation de soi. Lentement mais sûrement, la pornographie libérale nous entraîne du crime organisé vers l'explosion macabre. Les serpents démocrates-chrétiens, marqués du signe de la croix, seront alors les premiers étouffés par leurs langues.