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Dans la Matrice

Comme j'entendais récemment une jeune fille dans la rue dire : "On dirait que le temps des femmes est venu !" Ce n'était ni pour s'en réjouir, ni pour s'en plaindre, mais un simple constat de sa part. Le temps, qui débuta par une femme, pourrait se terminer avec une autre (le culte du temps est significatif de l'hystérie d'une personne, quel que soit son sexe.)

Il faut dire que cette gonzesse était Française, car dans les pays plus religieux que la France, comme l'Allemagne, le Japon ou les Etats-Unis, où l'on prend la politique au sérieux, le triomphe du sexe est déjà accompli depuis pas mal de temps. Ainsi que dans l'Eglise romaine, comme j'aime à le dire afin de souligner son imposture, car une telle domination féminine est un signe de paganisme. Si le judaïsme est aussi misogyne (cf. "Piège de la femme"), c'est à cause du goût des femmes pour le pouvoir (démoniaque selon les juifs et les chrétiens).

Le système juridique restitue nécessairement le pouvoir aux femmes. Il n'y a qu'un crétin comme Nitche pour ne pas voir qu'il lui suffirait de se convertir au catholicisme romain pour obtenir ce qu'il souhaite : un culte social païen (kermesse, carnaval et mariage gay) ; il n'y a pas de réalité évangélique du "Christ-Dionysos", inventé par quelque théologien bavarois beurré ; en revanche il y a le curé catholique romain. Même pour les Grecs, Dionysos était un des dieux les plus vils !

Au point que, dans ces nations : Allemagne, Japon, Etats-Unis, les femmes sont souvent plus viriles que les hommes, c'est-à-dire moins grégaires, moins enclines que les hommes au panurgisme, ce qui constitue une inversion sexuelle bien plus significative que le désir de consommation particulier de tel ou tel... et condamne ces nations riches et féminisées à mort. Et le culte de la mort est encore plus présent en Allemagne aujourd'hui qu'on ne pouvait le déceler derrière la culture de vie hitlérienne.

Le rejet de la technocratie est un mouvement typiquement masculin, tandis que les femmes au contraire y adhèrent : "Où ça le totalitarisme ?" "Mais nous sommes parfaitement libres d'exprimer ce que nous voulons !"  ; ces connasses croient que la sexualité est un mouvement libre. L'abruti Karl Lagerfeld, envahisseur plus sournois que tous ceux de son espèce, dit de façon plus lapidaire que Nitche la raison de son goût pour le mensonge et l'aliénation : le confort (pour lui).

Dans la technocratie, l'homme n'a pas sa place, sauf sous la forme du styliste allemand efféminé. L'espoir n'est pas nul de voir la fin du socialisme par autodestruction. Les femmes caressent l'espoir de s'accoupler avec des machines. Elles sont les plus éloignées de comprendre que l'intelligence artificielle équivaut à la bêtise, et que les mathématiques ne sont pas une science, mais une religion, dont le conditionnement technocratique se consolide. Elles peuvent toujours caresser l'espoir.

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