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Pièges de la femme

Le féminisme peut se ramener au commerce ; cette doctrine mondaine épouse en effet l'évolution de ce dernier. Beaucoup plus réticents à nouer des relations sociales, à cause de l'ignominie et la lâcheté qu'elles impliquent, les hommes y sont entraînés par les femmes. Que le goût de la société - c'est-à-dire de l'enfer -, soit généralement inoculé à l'homme par la femme, voilà bien qui prouve la supériorité des fables antiques sur les mathématiques modernes, chères aux lieutenants de Satan.

- Féminisme = commerce : cela se voit dans la religion des juifs, qui est la plus misogyne de tous les temps, et à laquelle j'emprunte le titre de cette note. Le rabbin juif qui n'est pas misogyne, on peut être sûr que c'est un pharisien, mû principalement par le commerce, et qui pour mieux séduire les veuves enterre sa religion.

- Pour opposer la misogynie au pharisaïsme, il faut rappeler que la misogynie n'est d'aucun usage sur le plan social, puisqu'elle prévient contre celui-ci. C'est le sens de l'intervention du Christ quand des juifs veulent lapider une femme adultère : l'amour ne peut se mélanger avec l'éthique ou la morale, car L'ETHIQUE EST l'ESPRIT DU TEMPS, véhiculé par des charognards vêtus d'habits sacerdotaux, qui disent : "Ne prenez pas la voie de la chair !", mais continuent de prôner l'éthique ou la vertu romaine, qui est seulement physique, et ne préserve en rien les hommes de se dévorer entre eux. Le cannibalisme n'a rien d'immoral. Pas plus les juifs qui lapident la femme adultère, que les nazis qui éliminent la concurrence, ne sont des personnes immorales ; l'éthique est, comme le langage, un serpent qui mue au fil du temps, et l'accointance du clergé avec Satan est constante à travers les siècles.

Seul l'amour ne passe pas, tandis que le temps, lui, emporte les civilisations, et les hordes de fainéants efféminés qui les ont édifiées, craignant que le ciel ne leur tombe sur la tête.

- L'Eglise véritable, épouse du Christ, dont il est largement fait mention dans l'apocalypse de Jean, est dotée d'attributs et de caractéristiques inverses de celles qui déterminent la société ou la civilisation, qui baigne depuis l'origine du temps dans un flou artistique rassurant, et que les fables savantes représentent comme une reine, qui à l'aide de son miroir magique se persuade qu'elle est la plus belle et désirable, mais redoute et combat l'avènement de la pureté ou de l'amour véritable, qui mettra un terme définitif aux charmes et illusions du prince de ce monde. La prostituée de l'apocalypse, elle, épouse le temps et non la vérité, et tous les blasphèmes que son calice renferme ont cette nature de charmes ou de pouvoirs magiques présentés comme la vérité.

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