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François Hollande et l'apocalypse

Interrogé par une vedette des médias à propos de l'apocalypse, attendue par certains en la fête paillarde et pédophile du solstice d'hiver 2012, le président français a fait preuve d'une ironie mesurée. Son antichristianisme s'est borné à placer la France au-dessus du culte identitaire personnel qui s'y est développé sous l'effet des politiques capitalistes imbéciles et criminelles depuis la Libération. Il a tenté de blanchir la France du colonialisme, sans lequel, aujourd'hui comme hier, l'exploitation capitaliste ne serait pas. L'évêque de Rome exprime parfois son dégoût de l'argent, cependant il n'a plus qu'un rôle de caution secondaire des ploutocraties occidentales. Le président français est au même point, cependant il est payé pour dire du mal de l'argent. En somme ces types humains sont parfaitement conditionnés à dire ce qu'ils disent, selon la critique de Molière ou de Shakespeare. Ce sont des pianos mécaniques.

- Plus prudemment, le président français a rappelé l'imminence de la mort pour chaque homme, en quoi il voit naïvement une bonne raison de se prosterner devant l'idole France, confiant -ou plutôt espérant- dans son avenir. Au contraire l'avenir des personnes morales est pour le chrétien la chose la plus hypothétique, et pratiquement le négationnisme de l'histoire. Pour cette raison l'apocalypse se joue au jour le jour ; il n'y a aucun homme qui ne soit pris dans le choc de l'Armagédon, devant choisir entre la vérité surnaturelle ou bien la puissance naturelle.

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