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Bousculer les femmes

J'invente des moyens de choquer les femmes, puisqu'il n'est pas permis de leur botter le cul. Dans le meilleur des cas, elles me regardent avec cet air de condescendance qu'ont les mères pour leurs enfants, en se disant qu'avec l'âge, je finirai bien par devenir normal.

- Les femmes n'envisagent que les moyens ; plus fréquemment, on observe les hommes s'interroger sur le but de leurs actions. L'éducation des enfants par les femmes, notamment, est désastreuse ; comme elles n'envisagent que les moyens, elles voient les gosses qui leur sont confiés (écoles primaires), sous l'angle du potentiel.

Malgré la somme des "crimes contre l'humanité" imputables à la polytechnique, rien n'y fait : ces êtres dépourvus de pitié rêvent toutes que leurs gosses fassent polytechnique. J'avais comme ça un camarade de lycée, complètement circonvenu par sa mère, qui le tenait enfermé à double-tour, jusqu'à ce qu'il entre à l'X. Et ce pauvre martyr de la connerie moderne a fini par y parvenir. Je suppose qu'il lui a fallu trouver une autre femme pour remplacer la première, et lui enseigner la meilleure solution finale.

- C'est la question du but qui affaiblit les hommes sur le terrain social, l'autocritique qui amoindrit leur volonté. Les soldats, eux, sont des femmes. Je veux dire qu'ils sont entraînés à le devenir. La femme a du travail une idée beaucoup plus haute que l'homme : cela suffit à prouver qu'elle s'opprime elle-même.

Où Nitche a-t-il pris que Jésus-Christ est efféminé, alors que les Romains sont tous des tapettes inféodés à leurs mères, n'aimant qu'elles ou celles qui leur feront oublier que leurs mères les ont ignorés, faute de potentiel suffisant.

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