Derrière chaque victime, quelle quelle soit, on retrouvera toujours le principe féminin. Et derrière la "victimisation", pas de victime, mais des accusateurs et "ayant-droit" ; et encore le principe féminin de l'héritage. Il est significatif que Simone Weil balourde l'héritage juif avec sa mère par-dessus bord. Ouf !
A écouter le poète radiophonique Zemmour, la victimisation ne serait permise qu'aux juifs ? Parce qu'on ne prête qu'aux riches ?
A partir de là, BHL et toute sa clique de curés et de rabbins lévinassiens peuvent se mettre leurs discours sur la choa où je pense. Il n'appartient qu'à eux. Aucun fondement scripturaire. A partir du moment où BHL s'en sert pour partir en guerre aux côtés des Etats-Unis, ça commence à sentir le roussi.
Pour clore la question, le dieu d'Israël s'est montré beaucoup plus terrible avec son peuple que Hitler, et Moïse beaucoup plus menaçant avec les Hébreux que Simone Weil et Le Pen réunis.
Hypocrites juifs, Isaïe a bien prophétisé de vous quand il a dit : "Ce peuple m'honore des lèvres, mais leur coeur est loin de moi. Vain est le culte qu'ils me rendent, donnant des enseignements (qui sont) des préceptes d'hommes."
Pour la repentance des chrétiens, là je m'y connais un peu mieux, et c'est encore pire ; ça ressemble à l'opération de la putain qui veut se faire passer pour une bourgeoise, ou qui réclame le brevet d'assistante sociale sanitaire.
"Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les monuments des justes, et que vous dites : "Si nous avions vécu aux jours de nos pères, nous n'aurions pas été leurs associés dans le sang des prophètes." Par là vous témoignez vous-mêmes que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes. Comblez donc la mesure de vos pères !" (Matthieu, XXIII, 29-31)