Là où le discours néo-nazi parle d'identité, Shakespeare décèle l'inceste et l'excitation féminine au crime. Quand la civilisation occidentale s'effondrera, on peut être sûr que Shakespeare, lui, restera, tant il oeuvre pour marquer la civilisation d'une croix, telle le tombeau des espérances nécessairement déçues.
Il restera, et il pourra rengainer l'épée empruntée au Christ. Fortinbras sera mort.