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Vive la vie !

Au cours des fêtes de fin d'année, l'Europe alitée croit sentir un semblant d'érection de la part de ses fidèles, et le gonflement des bourses qui pendouillaient lamentablement depuis quelques semaines. Il ne lui en faut pas plus pour sortir de son lit et se mettre à quatre pattes, en position d'attente. Encore quelques centimètres et elle retrouvera des couleurs.

Le choix d'Europe n'est pas plus des heureux : il prête à tous les quolibets et aux moqueries d'une institution manifestement orientée comme jamais, sauf peut-être le Royaume-Uni, vers le racket à l'échelle internationale. Le choix a dû être fait par une élite de politiciens barbares. Même un philosophe nazi comme Hegel aurait trouvé mieux qu'Europe, violée par un boeuf : Héra, par exemple.

Bien sûr le patronat qui voulait faire l'Europe avec de jeunes Turcs et de jeunes Algériens était le plus réaliste. On ne fait pas la civilisation, même au ras des pâquerettes, avec des vieux grabataires ou des femmes stériles. Et ce n'est plus d'Allemagne qu'il faut parler, mais d'hospice de vieillards dopés au viagra. Pourquoi l'Allemagne n'est plus officiellement nazie ? Parce que les nazis prônent d'éliminer les parasites sociaux, et que de toute évidence, aujourd'hui, ce ne sont plus les juifs ou les Turcs, ni même les embryons "surnuméraires", mais les vieillards qui seraient visés.

L'Allemagne, il n'y a plus que François Fillon à l'aimer passionnément, mais vu sa bobine d'insecte coprophage, rien d'étonnant.

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