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Libéralisme ou nazisme ?

C'est sans doute le droit de propriété intellectuelle la meilleure illustration que le libéralisme est un fléau pire que le nazisme, selon une opinion assez répandue chez les derniers humanistes français (Bernanos, Céline, Simone Weil), qui tirent leur principale force de leur désengagement politique, excluant que la pensée puisse servir de caution à l'assassinat politique.

- On voit bien que le libéralisme pousse avec la propriété intellectuelle l'interdit au-delà des choses concrètes, bien loin de sa prétention libertaire. En même temps qu'il nie efficacement toute métaphysique, le libéralisme met l'opium à la place et le fait payer à ses victimes. Les jeunes victimes du libéralisme réclament la libéralisation des drogues et de la prostitution ! Je le répète, même le nazisme n'était pas parvenu à un tel degré de séduction.

En matière de censure et de négationnisme, le libéralisme dépasse les bornes, puisqu'il a remis entre les mains du marché la liberté d'expression, la soumettant ainsi au principe de la rentablilité, avec la complicité des élites républicaines françaises et leur moraline antinazie. Les élites libérales se sont arrangé pour occulter totalement la puissante raison capitaliste et impérialiste, non seulement nazie, des génocides du XXe siècle. De cette façon elles ont même préservé intacte la cause du populisme ou du nazisme, à savoir l'attrait sur le peuple d'un régime moins corrompu, argument servi aux démagogues Mélenchon ou Le Pen sur un plateau par l'élite industrielle et bancaire de ce pays, leurs plumitifs qui ne sont que des chiens serviles, contribuant par la culture la plus médiocre aux différents moyens de suicide collectif de la jeunesse.

- Seul un homme-machine peut respecter le droit de propriété intellectuelle, qui assigne à l'esprit humain les frontières religieuses les plus étroites et révèle que le diagnostic d'Orwell est particulièrement tardif. Le véritable mobile du libéralisme est la pédophilie et non la liberté, c'est-à-dire la séduction des faibles par les puissants, suivant des moyens plus perfectionnés que ceux du nazisme.

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