Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dans la Matrice

Les personnes qui se trouvent, inconscientes, prisonnières dans la matrice, manifestent un état religieux de dépendance à des lois de la nature et de la politique reçues comme des dogmes, dont elles ignorent la cause et le but véritables. Cet état est proche de l'état foetal.

Ainsi des militants qui revendiquent l'usage de nouvelles drogues comme un "progrès social". Ils sont incapables de se demander d'où leur vient ce poids énorme de culpabilité qui les incite à se droguer.

Certains théoriciens cyniques et barbares parlent d'excès d'invidualisme, quand l'évidence même est un culte identitaire excédant celui de régimes totalitaires précédents. Un culte identitaire qui témoigne de l'écrasement de l'individu, dans la société moderne, par les institutions, qui n'ont jamais formé un maillage aussi serré, ni par conséquent une religion aussi uniformisée à l'échelle mondiale.

L'irresponsabilité, qui est le contraire de l'individualisme et traduit la dépendance à des institutions tutélaires, indique la responsabilité criminelle des élites, notamment intellectuelles, composées essentiellement en France depuis la Libération de butors dangereux, occupés à rédiger des manuels d'éducation sexuelle, ou des doctrines sociales improbables, toutes basées sur la négation du rapport de force physique imposé par la nature.

Il est tout à fait naturel qu'un homme tue celui qui a fait de lui son esclave. On peut croire que le meurtre sera d'autant plus sauvage que le maître avait promis à l'esclave de l'émanciper. Je ne justifie pas le meurtre : j'explique comment les élites enseignent que le meurtre des tyrans d'autrefois par leurs esclaves fut légitime : c'est là que le populisme commence.


Les commentaires sont fermés.