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Ophélie

Si Shakespeare expédie "ad patres" la ravissante Ophélie sans trop de périphrases, c'est pour bien nous montrer que toutes les personnes sentimentales s'appuient sur le néant, et que leur folie et leur suicide n'est qu'une question de secondes, de minutes ou d'années.

Victime de la mode et des sentiments se comptent par milliards dans les charniers de l'Humanité, vieille putain dont les anthropologues sont amoureux, comme Laërte l'est de sa soeur : dans le seul but de se montrer sous son meilleur profil.

Tout le cinoche en son honneur ne sauvera pas la divine Humanité.

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