En lisant le "Zibaldone" de Léopardi, on s'aperçoit des larges emprunts de Nietzsche au poète italien. L'idée que le christianisme est responsable de la mort de dieu est ainsi développée par Léopardi et reprise par Nietzsche.
A la différence de Nietzsche, Léopardi ne bâtit pas une doctrine. C'est sans doute l'idée "d'éternel retour", pierre angulaire de la doctrine satanique, qui est la moins léopardienne.
Léopardi ne se refuse pas à aborder la question de la métaphysique, que Nietzsche définit comme une pure illusion chrétienne ou juive.
Disons-le autrement : Nietzsche est un auteur polémique, ce qui n'est pas le cas de Léopardi.
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