Si Harry Roselmack est le symbole de la "négritude", Laurence Ferrari, elle, incarne le féminisme "à la française" ; celui qui a fait la fortune de "Elle" ou "Marie-Claire".
Les nègres ne peuvent pas gagner à tous les coups, quand même ! Après Obama, c'est au tour du sexe féminin de rafler la mise.
On aurait tort d'opposer d'ailleurs Ferrari à Roselmack. Car ils ont en commun de représenter tous les deux le talent et la liberté des médias.
Sous-entendre que Mlle Ferrari s'appuie sur sa liaison avec l'hôte de l'Elysée pour se propulser au sommet de la chaîne, impliquerait de nier le talent de journaliste de la blonde. On ne s'y risquera pas, pour éviter d'être accusé de mysoginie. Ou, pire, ça reviendrait à assimiler carrément le journalisme à de la prostitution. Invraisemblable !