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stockholm

  • Vie de merde

    Bien sûr il y a d'épisodiques moments de joie (et mon point de vue est celui d'un homme dans la force de l'âge), mais le vrai visage de la vie est celui d'un bourreau ; on peut donc dire que toutes ces personnes efféminées qui célèbrent la vie, à travers une poésie plus ou moins sentimentale, souffrent du syndrome de Stockholm.

    Je veux dire par là que, selon le tempérament paradoxal de l'homme, sa volonté commune de mourir idiot, de confondre par exemple la culture de vie satanique avec la spiritualité chrétienne, la vie est souvent célébrée par des victimes ou des personnes malheureuses, et non seulement par quelques sadiques.

    Je lisais cette semaine la nécrologie, rédigée par un journaliste, d'un de ses amis décédé prématurément d'un cancer ; en dépit des convictions athées exprimées par ce journaliste, la nécro se terminait par un : "Vive la vie... quand même.". Quel débordement de foi inutile !