Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Libéralisme pour les Nuls

- DROITS DE L'HOMME : S'en souvenir entre la poire et le fromage dans un dîner d'affaires. Les oublier ne serait pas pragmatique. Nommer un ministre pense-bête.

- VILLIERS-LE-BEL : Décalage croissant entre la toponymie et le Progrès et l'Evolution. Nommer une commission pour effectuer une mise en conformité.

- FACHISTE : Le voisin d'en-face. S'il y avait moins de fachistes, ça irait mieux.

Commentaires

  • Internet n'est-il pas l'apogée du libéralisme, l'équilibre parfait entre l'offre et la demande de biens privés ? Un bon marxiste doit se poser la question.

  • Un bon marxiste n'est pas une autruche, Sébastien, il est pleinement conscient de la propagande gigantesque qui a eu lieu en faveur de l'internet au début, propagande gouvernementale (vos enfants seront handicapés sans ordinateur), propagande commerciale.

    Un bon marxiste est parfaitement conscient de la capacité du marketing à créer des besoins. Prenez la prostitution et la pornographie, par exemple, 75 % des bénéfices les premières années (75 % des connexions de l'IEP où une amie me servait de taupe il y a dix ans), bénéfices qui ont comblé les besoins de financement de l'internet avant la "bulle", eh bien il n'y a pas une demande fixe et une offre fixe, immanentes.

    Marx n'a pas été nécessaire, Galiani a suffi dès le XVIIIe siècle pour démontrer à Diderot l'inexactitude des équations des économistes classiques.
    L'économie, la vraie, est une affaire humaine, je sais que c'est difficile à comprendre pour les barbares libéraux ou démocrates-chrétiens.
    Je suis un peu à cran, rapport aux tribulations de Sarkozy en Chine, après Chirac et alors que même les experts-comptables l'affirment (Cf. Nicolas Domenach : la Chine ne s'éveillera peut-être jamais, ou elle ne nous remboursera peut-être jamais.)

    Une anecdote personnelle, pour vous montrer la bêtise des capitalistes. Il y a quinze ans, probablement impressionné par les slogans en faveur de la micro-informatique, mon paternel m'inscrit dans un cours afin que j'y apprenne la seule chose qui demande un peu d'entraînement pour un usager : la dactylographie. Je me fie à son expérience, je me rends au cours, persuadé que j'allais apprendre quelque chose d'utile. Eh bien que dalle, le cours avait été annulé, j'étais le seul inscrit sur près de cinq cent possibles.

    Dans ce système, ce qui compte ce n'est pas de savoir se servir d'internet ou d'un ordinateur, c'est que tout le monde, jusqu'à l'aveugle de naissance, se paie un abonnement et une bécane dernier cri.
    Ne me parlez pas d'équilibre entre l'offre et la demande à une époque où des centaines de milliers de crétins se ruent sur Wikipédia pour glaner une information incertaine alors qu'ils n'ont qu'à attraper un vieux dico acheté aux puces pour obtenir la même info, dans sa version fiable.
    J'en profite pour dire qu'il a été démontré que l'enquête parue dans "Nature" sur la fiabilité de Wikipédia était "bidonnée". On n'entend d'ailleurs moins parler de Wikipedia en ce moment. Son inventeur serait-il retourné à ses sites pornos, plus lucratifs, lui qui voulait éradiquer l'ignorance de la planète ?

  • Lapin, pour le bien de l'humanité, contribuez à Wikipédia ! Votre immense savoir ne doit pas se restreindre au cercle de votre blog.

Les commentaires sont fermés.