« Donnez-nous plus d’instruction pour nous permettre d’écrire de meilleurs slogans, comme en Mai 68 ! »
Tel est le slogan qu’on pouvait lire, sans faute d’orthographe, sur un beau calicot blanc, dans la manif contre Xavier Darcos. Renversant !
Tout est dit en quelques mots du régime bourgeois. Jamais le bourgeois ne s’accuse lui-même ; il préfère faire porter à la génération précédente le chapeau tout en - c’est là le plus important - tout en conservant EXACTEMENT LES MÊMES MOBILES que ses géniteurs. On repeint la carrosserie dans la couleur opposée, sans changer le moteur.
La gauche libérale se charge de la peinture, la droite libérale entretient le moteur, qui s’essouffle de plus en plus. Du moins c’était la répartition des rôles jusqu’à ce que Superbobo se mêle de vouloir tout faire à la fois.
Qu’en est-il des beaux slogans de Mai 68 au juste ? Une bordée de syllogismes insipides tels qu’un esprit mécanique bien rôdé peut en chier dix à la minute.
Et les pictogrammes de Mai 68 ? Pas de quoi s’inquiéter question pictogrammes ou logos aujourd’hui ; la moindre petite ville possède désormais son fabricant de pictogrammes professionnel, son publicitaire attitré.
Les vrais révolutionnaires en Mai 68 n’étaient déjà qu’une toute petite minorité. La poignée d’étudiants et d’ouvriers communistes sincèrement révolutionnaires et la poignée d’étudiants et d’ouvriers qui bravaient les mots d’ordres appelant à manifester.
« Assez de jouets, donnez-nous des armes ! »
Commentaires
"L'école devrait toujours avoir pour but de donner à ses élèves une personnalité harmonieuse, et non de les former en spécialiste."
J'hésite entre crucifixion et juridiction, mon Lapin; je me dirige donc vers ta fabuleuse Fontaine de circonspection, notre source d'eau pure que tu sais.
(Vous prenez les lieux communs (d'Einstein qui plus est!) pour des lieux d'aisances, Soldats Spendi, en bon parpaillots qui s'ignorent que vous êtes... (vous feriez d'excellents légionnaires (et religionnaires donc) de l'Educ-Nat... si ce n'est pas déjà le cas).
un vers de Molière vous remettra peut-être l'estomac à l'endroit :
"Votre ressentiment me donnait lieu de craindre » ...
le Saint-Esprit prendra la relève :
"il fera en sorte que les disciples puissent découvrir progressivement le sens de la révélation portée par le Christ. L’Esprit actualise la révélation dans la vie de l’Église. La vérité est la même mais saisie davantage et de manière différente dans le cheminement des chrétiens et des chrétiennes. Comme l’amour maternel ou paternel peut être toujours le même mais, reçu, accueilli et compris différemment par les enfants qui deviennent parents à leur tour."
Anonyme de la toile (à ma connaissance) Hé! c'est que le sein t'est pris, comme toujours, par nobody de connu!? (voire, les VIP que sont nos cadets en naissant...) ...
il y a bien lieu, en ce dimanche, de craindre en mon lieu-dit et dans les hauts lieux de ce qui vous tient lieu de religion.)
ha! au fait, j'ai perdu ton imèle...
Il a du se tordre le cul pour trouver la source de la citation chez Évène...
Ben alors, mon propre Fodio, pas content que tout le monde boude votre pensée si géniale, de Nadine au Lapin en passant par mon humble personne? J'avais dit dans un post censuré que vous ne tiendrez pas quelques mois dans ce blog, il semblerait que ce soit vos dernières respirations saccadées avant votre mort - bref, sans aucun intérêt.
***
Bien entendu, la citation mon cher Lapin était là pour tendre la perche sur vos idées sur l'École, dont vous considérez, avec Einstein (et contre Fodio visiblement, apôtre parmis des milliers d'autres de la modernité d'ingénieurs en tout genres - quand on dit "lieu commun", c'est à entendre comme la pensée partagée par tout le monde, et la votre, Fodio, l'est effectivement, partagée par tout les modernes, alors que celle, spirituelle, scientifique d'Einstein est complètement oubliée), qu'elle est devenue un lieu de formation de spécialistes et d'ingénieurs au lieu d'un lieu de formation d'esprits.
Tiens monsieur spendius, une citation rien que pour toi, j'espère que tu apprécieras, canaille.
"La Magie croit aux transformations immédiates par la vertu des formules, exactement comme le socialisme"
Si tu es aussi honnête que tu l'as déclaré avec chaleur, limite pédée, à Mille-et-une-nuit, tu n'iras pas en chercher l'auteur sur Ouiqui ou chez Evène (sache que je ne fréquente ni l'un ni l'autre, j'ai des sources un peu plus pures) et que tu nous avoueras en connaitre, ou pas, l'auteur. Le piquant venant bien sûr du fait que je soupçonne un autre auteur d'être à TON origine...je me comprends.
L'Education nationale ou la Wehrmacht, pour moi, c'est la même chose, le même genre d'institution capitaliste, recouverte de la même mystique ridicule.
En outre le sommet de cette pyramide de routine, c'est polytechnique : "Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre.", qui reprend la devise de l'Académie, et dont sont sortis une brochette de crétins ultimes comme Giscard d'Estaing, Jacques Attali, Bruno Mégret, Jean-Marie Messier, Martin Hirsch, Antoine Wauquiez, de véritables calamités ambulantes dont on se garderait soigneusement dans n'importe quel régime raisonnable.
En tant que communiste, je suis contre l'académie, archaïque, pour le lycée moderne d'Aristote.
(Polytechnique est la seule "grande école" où on prend Finkielkraut au sérieux ; lorsqu'il a été bombardé à Normale Sup., ç'a été la panique générale - un polytechnicien tu peux lui faire avaler n'importe quoi.)
Les délires de mai 68 toujours présents :
http://www.jacques-vassieux.com/2008/04/les-dlires-de-mai-68-toujours-prsents.html
Je suis même plus honnête que ça Fodio: Je n'ai pas lu votre citation. Je prends un grand soin à ne pas vous lire, seulement à capter quelques verbes par ci par là qui me montrent l'atmosphère générale de votre post, la plupart du temps une atmosphère de clowneries sans intérêts.
La polytechnique encore, il y a des trucs pas mal qui y sont sortis (Einstein, pour y revenir, avait étudié à l'école polytechnique de Zurich), faut pas tous jeter en blog. Mais c'est vrai que les noms que vous nous dites sont assez décourageants...
Il est assez évident que vous êtes un spécialiste de la balle dans le pied Spendius. Vous faites votre pédant dès qu'une carotte vous est tendue et quand un bâton se présente vous le prenez en pleine poire pour le confondre avec une baguette de chef d'orchestre.
La citation est de Flaubert et ne doit pas se trouver sur Ouiqui ou Evene en tout état de cause.
Vous êtes décidément plus Bouvard ou Pécuchet que Spendius, that's for sure*!
* si quelqu'un a une suggestion pour les italiques je suis preneur à un prix raisonnable.
Si il y a bien quelque chose qui ruine la langue française, c'est le verbes d'état, que vous utilisez partout, si content de pouvoir mettre des étiquettes sur tout ce qui bouge. Et votre sketch récurrent sur les italiques, mon dieu...
Vous êtes chiant en plus de pédant (car lèche-pompes), même le lapin commence a avoir un mal fou à vous supporter. Je vous avez déjà donné combien de temps de "vie" dans ce blog?
(Je vous ai dit que je n'ai pas lu votre citation, qu'elle soit de Flaubert ou pas, si elle sort de votre clavier, certainement piqué à Évène, elle en perd tout son intérêt.)
"les" verbes d'état.
"Vous faites votre pédant dès qu'une carotte vous est tendue et quand un bâton se présente vous le prenez en pleine poire pour le confondre avec une baguette de chef d'orchestre."
Ah, quand même, je l'avais pas lue celle là hi hi: Vous avez surement du vous tordre le fion pour trouver ce genre de phrase minable, j'en suis certain. Phrase "bloyenne", à savoir avec tout le lots de métaphores idiotes, la caricature de l'art. Si il y a bien un esprit, pris en maître, qui est en train de tuer tout l'art et toute l'honnêteté des artistes, c'est bien Léon Bloy. Je l'oppose au grand Courier:
"Dieu, dis-je en moi-même tout bas, Dieu, délivre-nous du malin et du langage figuré ! Les médecins m'ont pensé tuer, voulant me rafraîchir le sang ; celui-ci m'emprisonne, de peur que je n'écrive du poison ; d'autres laissent reposer leur champ, et nous manquons de blé au marché. Jésus, mon Sauveur, sauvez-nous de la métaphore."
[Le Pamphlet des Pamphlets]
"certainement piquéE à Évène"
"Je vous avez déjà donné !"
J'adore quand les cons parlent de conneries.
T'es mauvais Lapin ou c'est vraiment le type derrière Spendius qui est une tache?
c'est presque crédible une bêtise pareille!
En fait tu es très bon Lapin, je le sais, j'y perdrais mon latin si je n'avais dû l'acquérir à si bon prix.
C'est-y que t'aurais peur que je t'abandonne, cf le délire "combien de temps "je VOUS avais donné" alors que je t'ai lu pendant quatre ans sans rien dire?
c'est mal me connaître mon lapin.
J'ai rien compris...
Vous connaissez la grammaire?
Parce que, vous savez, les fautes d'orthographe, je peux vous en trouver à la pelle dans vos "textes", et en tant qu'immigré greco-turc, j'ai une excuse. Mais les fautes de grammaire et de sens, c'est impardonnable...
"T'es mauvais Lapin "
"En fait tu es très bon Lapin" (putain, le retournement de situation! Vous êtes le maître de la tragédie vous, hein?)
"C'est-y que t'aurais peur que je t'abandonne"
(On sait pas à qui il parle...)
"c'est mal me connaître mon lapin."
(Ca fait des plombes qu'il intervient plus dans les commentaires de cet article...)
"J'adore quand les cons parlent de conneries."
J'adore quand des types à la logique effondrée se mettent à jouer les correcteurs des autres. En plus, quel lieu commun, le "J'adore quand les cons parlent de conneries", vous pourriez être plus inventif, cette phrase est la pute sacrée de l'ensemble des pécores écrivaillons qu'on dit "intellectuels" et ce depuis des millénaires. Personnellement, moi, j'adore quand ces mêmes intellectuels se frappent sur la gueule pour des questions aussi chiantes que débiles, les vieux combats philosophiques, cette intellectualisme de tinettes vous en êtes un très bon représentant, Freudio...
C'est la forme évoluée du "C'est celui qu'il le dit qui y est" des gamins qui se battent à la récré, mais ces scénettes au moins n'ont pas le côté vicieux et mahlonnête de l'atmosphère intellectuelle diffusée par les "élites" - "l'élite", ce clergé moderne, le concept est le fétiche des réactionnaires...
Si vous voulez, on peut lancer les bases d'une véritable "communication", comme ils disent, les psychologues...
Je vous aime bien Freudio, si on se rencontrait un jour, je suis sur qu'on serait de bons amis, simplement, dans un blog de la "réacosphère", j'arrive pas à vous blairer. Tout ce que vous dites est artificiel, ce que je dis aussi, et mes virtualités ne concordent pas avec les vôtres. Mais on arrive, dans nos océans d'illusions respectifs, montés en idéologies-kits, à apercevoir quelque fond dur, une réalité. Cette réalité, je l'aime bien chez le lapin, et c'est ce qui me pousse à rester, car au contraire de chez Asensio ou Cormary, le lapin est un brave gars, honnête (mais des fois moins, quand il se noie dans son océan à lui, et ce très souvent, ça devient nettement moins intéressant, et j'imagine d'ailleurs que moi aussi je fais chier beaucoup de monde, et en dégoute une bonne partie aussi), et je l'aime bien chez vous aussi. Simplement, je suis fidèle à mon esprit de noble paysan, d'homme de la terre hein, le gars dur tout en étant sympa, avec la moustache ridicule et qui vide souvent son ennui dans les cafés et les bars - et cet esprit m'empêche d'être sympa avec vous, parce que pour moi, vous n'êtes pas réel et moi je le suis. Et vice-versa - et c'est sur ce tissus de mal entendus que nait la blogosphère par ailleurs, et la réacosphère particulièrement, parfaite héritière des débats pédants scolastiques.
A votre tour, videz votre cœur.
Quel coeur? ce muscle qui me fait t'emmerder et réfléchir un peu? pourquoi je le viderais? il est rempli de braves types dans ton genre et dans le mien, de braves con qui n'emmerdent personne parce qu'ils ne s'autorisent pas à s'en donner les moyens.
Ainsi c'est donc toi l'immigré gréco turc ou c'est ton pote qui s'est fait interdire de séjour ici? vous êtes des frêres de lutte ou c'est le lapin qui s'embrouille dans ses personnages? comme il est très bon, le lapin, je m'étonne, donc je serais amené à croire que t'existes pas, mais comme il peut pas non plus être aussi bon... d'un autre côté je me dis qu'un immigré turco-grec, ça s'invente difficilement pour représenter un démocrate crétin... mais du troisième côté, pourquoi pas, c'est bien la preuve que les valeurs sont faussées et ça le montre. Des excuses de mal parler ou écrire le français n'en ont jamais été pour un Huysmans ou n'importe quel étranger qui se mêle de nous apprendre notre langue Monsieur le professeur. Le lapin vous a tout dit sur l'orthographe, soyez beau joueur, vous n'avez que votre langue pour séduire les femmes. C'est léger pour celles qui aiment la poigne. (corrigez-moi si je me trompe, vous allez finir par vous ôter toutes les balles que vous vous tirez dans le pied à chaque fois que vous faites le malin, mais je trouve que t'écris de mieux en mieux depuis que tu me corriges.) Faut-il que je fasse les didascalies pour que t'arrives à savoir à qui s'adresse mes apartés?
ou que je me corrige en bon protestant (à qui s'adresseNT mes apartés, par exemple)
La différence entre nous, c'est que si je m'aperçois que j'ai laissé passer une faute, je n'éprouve pas le besoin de la corriger. La passion de l'ignorance, très peu pour moi. Tu es quand même un peu trop transparent dans tes intentions. Quand donc te verrra-t-on enfin répondre en honnête homme, à savoir que tu ne fais que parler de toi toujours et encore quand tu crois insulter ton Freudio, Frodieu...Fauxdieu, tant qu'on y est!
Noble paysan, hum, pourquoi pas rustre aristocrate.
Pour moi, un vrai aristocrate est un paysan mon ami. Les autres, je les aiment pas. Vous lisez Chesterton?
Votre avant-dernier poste, vous pouvez le ré écrire, j'ai rien pigé...j'ai déjà dit plusieurs fois que j'étais simplet, c'est d'ailleurs une de mes grandes fiertés, mais ça serait trop long à expliquer.