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MON JOURNAL DE GUERRE

Un nègre s'approche dans la rue d'une femme munie d'une poussette et abandonnée par son mari. Pour quelques heures ou quelques jours. Au coeur de l'été dans Paris. J'observe son manège...

"Je suis assis sur le banc des remplaçants", lui susurre-t-il. Voyant qu'elle est plutôt du genre farouche, avec un sourire rassurant : "Tu as juste à me faire signe pour que je commence à m'échauffer."

N'était la réticence de cette femme au physique assez ingrat et l'allusion au football, je me serais cru au XVIIIe siècle. On peut se demander ce qu'il resterait aujourd'hui sans les nègres de la douceur de vivre à la française ?

Postés à des noeuds du métro pendant la saison touristique, d'Afrique noire ou du Maghreb, les nègres représentent encore pour les touristes hollandaises ou allemandes le type du Français viril en voie de disparition.

 

Commentaires

  • Ah ah ces nègres et leur sens de la métaphore! Cet amour du langage fleuri! Dieu qu'ils sont divertissants! On peut juste se demander si la poufiasse a bien tout compris... Dès qu'on dépasse le sujet-verbe-complément avec un utérus...

  • Si elle craint de ne pas comprendre, elle peut toujours demander à son régulier qui lit sûrement "l'Equipe".

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