Dans le langage sec et peu imagé d'aujourd'hui, je définis le diable de la façon suivante : une personne morale.
On le reconnaît au puissant encouragement des personnes morales à l'irresponsabilité des personnes physiques (à tel point, je dois avouer, que le suicide d'un fonctionnaire ou d'un employé de banque m'apparaît comme une tentative de reprendre en main son destin).
Le diable procède comme un médecin, par la manipulation physique ou psychologique. Il semble qu'il a une prise plus grande sur les femmes. Et aucune sur Molière.