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Ecologie, piège à cons

Comme si l'écologie tout court n'était pas suffisamment imbécile, avec son idée de vouloir sauver la planète pour le bénéfice d'un homme qui passe son temps à la saccager, il faut en plus que de faux-témoins ajoutent au tas de préjugés des écologistes le label "chrétien".

Le rapport primaire de l'homme à la nature, comme cela a déjà été illustré dans l'antiquité, c'est le narcissisme. Il se confirme que l'axe principal de réflexion de la démocratie-chrétienne est la pédérastie. Si l'on se penche sur le raisonnement écologiste, on verra qu'il est aussi absurde que celui de la pédagogie. Pourquoi une femme veut-elle un enfant ? Il n'y a que des réponses dogmatiques à cette question, et les écologistes se fient à leurs statistiques comme à des dogmes.

La prétendue "pensée écologiste" se situe au niveau de l'instinct de conservation de l'espèce, et donc de la peur panique, puisqu'elle n'apporte aucune solution pratique à un phénomène à demi élucidé. Qui peut croire que l'écologie réparera en quelques années, ce que le libéralisme aurait mis des siècles à détruire ?

La parenté entre l'écologie et la démocratie-chrétienne, c'est que ce sont les idéologies les plus favorables au commerce. Ce que signifie l'écologisme, c'est la débandade de la culture de vie libérale, rien de plus.

La pauvreté, impératif chrétien, met fin à toute discussion écologiste parmi les chrétiens, ni conservateurs, ni recycleurs de vieilles idées conservatrice sous la bannière de la modernité, et de plus, pas attachés à la terre pour un sou.

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