Vous pouvez lire mes dernières notes dédiées à L'OPUS DEI et à FRANCIS BACON CONTRE THOMAS D'AQUIN sur le blog "shakingspirit" où je déménage petit à petit.
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Vous pouvez lire mes dernières notes dédiées à L'OPUS DEI et à FRANCIS BACON CONTRE THOMAS D'AQUIN sur le blog "shakingspirit" où je déménage petit à petit.
Commentaires
Bon emménagement dans votre nouveau terrier en espérant qu'il soit mieux éclairé que l'actuel.
Qui préfère vivre sa vie sur le mode inconscient ne comprend que les choses complexes, et s'acharne à trouver le labyrinthe de son âme passionnant.
Je vous parle éclairage et vous me causez labyrinthe ! C'est à n'y rien comprendre. Au demeurant, le labyrinthe de toutes les âmes est passionnant, et complexe en effet, n'en déplaise à un certain simplisme chrétien.
- Si l'on fait la lumière sur l'âme, comme vous paraissez le souhaiter, pffuitt, il n'y a plus rien, et beaucoup d'arcanes majeurs s'écroulent. En France, d'ailleurs, le pinard remplace avantageusement la nécessité de l'âme dans les autres peuples plus efféminés.
"Qui préfère vivre sa vie sur le mode inconscient ne comprend que les choses complexes, et s'acharne à trouver le labyrinthe de son âme passionnant."
Mais tu veux mettre la presse féminine, les éditorialistes, les psychanalystes, les publicitaires, les scénaristes et nombre d'écrivains au chômage, Lapin.
Si l'on fait d'écrire un métier, à la manière de Jean d'Ormesson, c'est bien pire que la prostitution, rappelle Bernanos.
- Pour la gent féminine, le fait de lire des romans est un peu l'équivalent de la fréquentation des bordels pour les hommes, non ?
Ce n'est pas parce-que les bordels se font rares que les femmes lisent moins. Un métier c'est des collègues et des concurrents, d'où la grande propension des écrivains et critiques au copinage et à la mesquinerie. La littérature ne m'a jamais rien apprit du monde, sinon me confirmer dans des intuitions. Les grands lecteurs de romans, qui sont souvent des lectrices, sont des chats cherchant la caresse apaisante sous le cou.
*appris
- Rares, les bordels ? Vous voulez dire que l'élitisme républicain aimerait les réserver à une petite élite d'élus. Non, à côté de la prostitution de luxe, je constate un luxe de prostitution, à moins de vivre sur le plateau du Larzac (et encore). Les galipettes de DSK étaient connus de tout le St-Germain-des-Prés féministe, et ce qu'il est reproché à cet auguste par son milieu, ce sont ses fuites.
- Là où vous avez raison, c'est que par rapport à l'Allemagne ou au Japon, il y a une réticence en France à avouer le fait de la prostitution généralisée. Sans doute parce que l'aveu du trafic de chair humaine rendrait difficile de se réclamer des droits de l'homme ou de l'esprit des lumières.
Les plus beaux bordels sont, plutôt,des marchés aux soubrettes, futures épouses. Dans le bordel classique, on ne fait que louer. Dans le bordel haut de gamme, comme le sont les institutions dédiées à l'enseignement des sciences politiques et philosophiques, l'esclave peut être affranchie et devenir maquerelle, comme Simone de Beauvoir.