Le progrès est comme dieu : on en parle beaucoup, mais nul ne peut en rapporter la preuve. Le progrès démocratique, c'est comme de prétendre que les poux sont des animaux supérieurs aux lions (dixit Clemenceau), ça ne tient pas debout.
En art comme en politique ou en droit, tout n'est qu'imitation de la nature plus ou moins subtile ; les trous noirs sont seulement susceptibles d'avaler l'univers dans les rêves de technocrates débiles.
En même temps qu'ils sont improbables, dieu et le progrès sont la seule issue véritable pour l'homme ; car si "tout est sexuel", la vie ne vaut vraiment d'être vécue que pour les insectes et les bourgeois, les poètes auteurs de refrains totalitaires : "Y'a d'la joie !"