Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

charles baudelaire

  • Feu d'art

    14 Juillet, date symbolique de la prise du pouvoir par la bourgeoisie industrielle et bancaire ayant entraîné les conséquences que l’on voit pour les arts et la science.
    Les échos de la pétarade républicaine à peine dissipés, tirons quelques fusées vers le ciel… (Au fait, qui est ce Polnareff ?)

    Première salve :

    « La vraie civilisation n’est pas dans le gaz, ni dans la vapeur, ni dans les tables tournantes, elle est dans la diminution des traces du péché originel. »

    « La seule manière de gagner de l’argent est de travailler de manière désintéressée. »

    « Le trône et l'autel, maxime révolutionnaire. »


    Charles Baudelaire

    Deuxième salve :

    « De nos jours toute tentative pour abrutir les êtres humains trouve à sa disposition des moyens puissants. »

    « Avec la grande presse et la télévision, on peut faire avaler par tout un peuple, en même temps que le petit déjeuner ou le repas du soir, des opinions toutes faites et par là-même absurdes, car même des vues raisonnables se déforment et deviennent fausses dans l’esprit qui les reçoit sans réflexion ; mais on ne peut avec ces choses susciter même un éclair de pensée. »

    « Somme toute il paraît raisonnable de penser que les générations qui seront en présence des difficultés suscitées par l’effondrement du régime capitaliste actuel sont encore à naître. Quant aux générations actuellement vivantes, elles sont peut-être, de toutes celles qui se sont succédé au cours de l’histoire humaine, celles qui auront eu à supporter le plus de responsabilités imaginaires et le moins de responsabilité réelles. »


    Simone Weil

    Bouquet final

    « Il y a eu des collaborateurs mais la collaboration était un mensonge. Il y a eu des résistants mais la résistance était un autre mensonge. Il y a eu la victoire, qu’on n’a tout de même pas osé appeler Victoire, par un reste de pudeur, mais libération. Et cette libération était aussi un mensonge, et le plus grand de tous… »

    Georges Bernanos