Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Plateau ciné

medium_braun.gif


J’irai pas voir La Chute de Hirschbiegel au cinoche. À mon âge, on préfère peloter les filles en pleine lumière plutôt que dans une salle obscure puant le pop-corn. Et puis j’aurais trop peur de me raser. Ferdinand Céline ne manquait pas de discernement en général, mais, question cinéma, il s’est sacrément gourré, lui qui prédisait un avenir mirobolant au “septième art” ; cinquante ans plus tard, un bon bouquin reste cent fois plus concentré en émotions et en images qu’un bon film, dès lors qu’on a un peu d’imagination.

N’empêche, sommes-nous meilleurs que les Allemands qui ont élu Hitler ? Si les films de Claude Zidi, de Gérard Oury ou de Steven Spielberg ont éclairé votre enfance, alors il y a des chances que vous trouviez cette question un peu incongrue… Pourtant, c’est J.-J. Goldman en personne qui l’a posée le premier ! Et ce faisant, même s’il ne répond pas à la question - après tout un philosophe peut-il faire mieux que poser les bonnes questions ? -, Jean-Jacques ouvre une brèche dangereuse dans le Dogme. Le Dogme, c’est : on n’a jamais et on ne pourra faire pires salauds, pires monstres, pire nazis que les Allemands.

« Si j’étais né en 17 à Leidenstadt,
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été Allemand ?… »

Le doute n’était pas permis jusque-là.

Sommes nous meilleurs, même, que nos grands-parents ? Qui s’illustrèrent par leur lâcheté pendant l’Occupation. Nos grands-mères surtout, qui, au lieu de se révolter contre toute la barbarie contenue dans un seul peuple, le peuple allemand, et d’aider les Juifs à fuir en Amérique, n’ont rien trouvé de mieux que de collaborer à blouses rabattues avec les forces du Mal.

Autrement dit, si un génocide avait lieu en ce moment, comment réagirions-nous ? Les films de Claude Lanzmann, les promenades scolaires à Auschwitz nous ont-ils fait mûrir un peu ? Si pour des raisons économiques et sociales, par exemple, car la barbarie s’avance souvent masquée derrière des raisons économiques et sociales, on décidait de nier le statut d’être humain à une catégorie de la population, voire de s’en débarrasser, nous élèverions-nous contre ce crime abominable ?

medium_aquarelle.gif

Commentaires

  • Il est encore tôt pour réagir sans se fourvoyer. Mais quand je lis "Nos grands-mères surtout, qui, au lieu de se révolter contre toute la barbarie contenue dans un seul peuple, le peuple allemand...n’ont rien trouvé de mieux que de collaborer à blouses rabattues avec les forces du Mal.". J'ai du mal à me retenir. J'espère seulement que ton humour caustique se cache derrière cette réplique, et que les brumes matinales m'en a détournée. Si c'est le cas, d'avance je m'en excuse.
    Mon grand-père communiste a passé toute la guerre aux travaux forcés en allemagne. En revenant il s'est détourné, à l'instar de toute sa famille, de sa soeur rasée à blanc. Cette femme qui n'avait d'autre ressource que son corps pour nourrir ses gosses a fini ses jours dans un HP. Certains appellent ça "collaboration", moi j'appelle ça "instinct de conservation de l'espèce".
    Les hommes sont seulement jaloux de ne pas disposer de ressources naturelles aussi simple à utiliser dans les questions de survie. Ils sont obligés de passer par le marché noir, et ça ne marche pas à tout les coups. Même si au final l'avantage est considérable: c'est toujours plus facile de se déguiser en résistant au dernier moment.

  • Pimpeleu, chantons en chœur tous les deux ces couplets de Brassens :

    « Les braves sans-culott's et les bonnets phrygiens
    Et les bonnets phrygiens
    Ont livré sa crinière à un tondeur de chiens
    À un tondeur de chiens

    J'aurais dû prendre un peu parti pour sa toison
    Parti pour sa toison
    J'aurais dû dire un mot pour sauver son chignon
    Pour sauver son chignon

    Mais je n'ai pas bougé du fond de ma torpeur
    Du fond de ma torpeur
    Les coupeurs de cheveux en quatre m'ont fait peur
    En quatre m'ont fait peur

    Quand, pire qu'une brosse, elle eut été tondue
    Elle eut été tondue
    J'ai dit : "C'est malheureux, ces accroch'-cœur perdus
    Ces accroch'-cœur perdus"

    Et, ramassant l'un d'eux qui traînait dans l'ornière
    Qui traînait dans l'ornière
    Je l'ai, comme une fleur, mis à ma boutonnière
    Mis à ma boutonnière »

    C'est pas Léo Ferré qui aurait osé ça.

  • Question: l'aquarelle en bas est-elle d'Adolf Hitler ?

  • c'est vrai c'est vrai, mon pépé préférait Léo Ferré. Je lui en veut pas, ni de ça ni du reste, surtout qu'il est mort. C'est pas qu'il n'a pas osé, c'est qu'il n'était qu'un pauvre ouvrier qui n'avait jamais connu l'école la plus élémentaire. Il était naïf et endoctriné, trop généreux et trop mouton.
    ---
    j'aime ni goldman ni brassens pour leur musique, mais le dernier était un sacré personnage, faut bien le reconnaître.

  • Jawohl, c'est bien une aquarelle d'Adolf Hitler. Comme quoi, on peut être un dictateur sanglant et un artiste en même temps.

  • Tu vois j'avais reconnu ! Moi le premier ! Elles sont pas très connues, faut être amateur. Certaines sont excellentes ! Ca me fait marrer quand on dit qu'Adolf Hitler était un peintre raté et qu'en je vois ça... Je serais bien en peine d'en faire autant.

  • Si ça n'en est pas une, ça y ressemble furieusement.

    Dites donc Pimpeleu, z'avez une drôle de vision de l'instinct de conservation, comme vous dites, les filles de la rue St Denis ou des Maréchaux la partagent sûrement. Moi, le seul bénéfice que je retire quand je m'allonge/califourchonne ou me quatre-pattise*, c'est celui de mon propre plaisir, et /ou celui de mon compagnon, mais ça c'est son problème. Oui je sais, je mange à ma faim -quand j'ai le temps- et ma fille aussi, n'empêche que.

    * liste non exhaustive.

  • Quand un prof de collège enseigne à ses élèves que Hitler était un peintre raté, il se garde bien de leur montrer ses œuvres.

    En revanche, on nous rebat les oreilles avec le talent littéraire de Napoléon.

  • Mamz'élucubrations, je suis consternée par ta remarque. Comment! des femmes utilisent leur corps à autre chose que gagner de l'argent ou procréer! et pour des choses aussi futiles que le plaisir en plus... berk!

  • J'ai lu recemment "Le choix de Sophie" de William Styron.
    C'est un très beau livre, je vous le recommande.

  • Tu sais faut pas croire, Pimpeleu, j'utilise aussi le mien pour faire de l'escalade et de la chute libre :)

    Y'a un truc qui m'inquiète beaucoup, de quelle génération faut il être pour avoir eu les oreilles rebattues par le talent littéraire de Napo ? On m'a surtout appris qu'il était le plus grand dictateur d'Europe, mais bon...

  • "Le choix de Sophie"........il faut aussi voir le film.

    Une Merill Streep tragique et boulversante

  • Je vais aussi aller voir ce film demain.
    Pour ce qui est du génocide, j'avais souvent entendu dire que si la télévision avait existé, la solution finale n'aurait pas existée... Et pourtant : Rwanda, ex-Yougoslavie... Malgré les images, malgré les photos, le reportages, les dénonciations, rien n'a pu être évité... Qu'en penser ?

  • bon dieu!l'aquarelle est d'adolph?moi aussi j'étais persuadé que c'était une nullité;c'est dure de juger sur la taille de l'image,mais il avait l'air d'avoir une sacrée bonne technique!connaissez-vous un site qui les montre ses oeuvres?
    g.

  • qu'en penser,mr.vebret?..."la connaissance inutile"...(de jf revel,que je recommande chaudement)
    g.

  • Une nature morte très réussie... Cliquez sur mon gros lien pour la voir, j'aime ça !

  • On dit plutôt 'clique sur mon gros noeud' mais bon, il peut aussi être lié, c'est une question de goût.

    Lapinos a choisi -sûrement- une des mieux réussies mais très honnêtement le reste ne vaut pas vraiment tripette, en particulier ses huiles.

  • La faiblesse d'A H résidait dans les portraits, c'est certain. Mais la plupart de ses réussites ne sont pas mentionnées sur le web... Paysage ou architecture. mon lien en recensse les plus mauvaises. Les meilleurs sont toutes aux USA chez des riches collectionneurs (une est réapparrue en Iran il y a quelques années) quand elles n'ont pas été détruites ou spoliées.
    Le niveau est celui d'un peintre professionnel plutot convenable pour les touristes, comme on en peut en voir rue de Rivoli par exemple. Ni un génie, ni un peintre raté comme on le dit toujours.

  • Le film est absolument mensonger d'un point de vue historique. Le dernier survivant du bunker s'en rappelle encore 60 ans après, le Fuhrer n'était pas hystérique comme le joue Bruno Ganz dans des scène de délire certes magnifiquement interprétées !
    D'autre part le bunker était infiniment moins peuplé que dans le film, une vrai ruche !
    Sinon bon film, qui marque sans doute un premeir infléchissement dans l'image renvoyé de hitler. Le premier pas vers la réhabilitation (qui est hélas déjà en cours dans le tiers-monde soit dit en passant) !

  • Le film "la Chute" nous présente Hitler comme un homme, un homme fou. Un pauvre fou.
    Tentative de relativisation, de révisionnisme, de réhabilitation.
    Ce faisant, on évite de parler du nazisme et des millions de morts.

    Discuter à l'envi des qualités de peintre de Hitler, est-ce vraiment le plus important ?
    En supposant qu'il ait été un artiste génial, cela l'aurait-il absous ?

  • Ce qui semble géner tout le monde, c'est que l'on découvre qu'Hitler était un être humain, au sens qu'il était fait de chair et de sang... Car, après-tout, seul un humain peut concevoir la solution finale...

  • Et pourtant, Hitler n'était pas présent à la conférence du lac Wansee comme on le voit dans les téléfilms parfois ! (Il est vrai qu'elle ne concernait que des ministres de rangs intermédiares) Et en mars 42 si je me rappelle bien, il affirmait clairement que la guerre était prioritaire et que cette sinistre question du déplacement des populations juives serait à l'étude une fois la paix revenue !

  • Le probleme ne concerne pas Hitler en effet mais plutot la naissance. Hitler ne méritait pas d'exister mais personne ne le mérite. Chaque père et mère de famille est complice d'Hitler en un sens. Avoir un enfant c'est accepter l'horreur (possible) de la vie. Si on veut pas mourir massacré on ne nait pas. Enfin, facon de parler hein hehe !!! de toute les maniere je ne pleure donc que sur les victimes innocentes (a mon sens) les enfants et les gens qui ne se sont pas reproduits.
    Pleurer la mort de ses enfants: chose absude la condamnation à mort date de la naissance ! EVIDENCE

    Telle mère à perdu noyé tout ses enfants au Bangladesh: je me ressert des nouilles... Cet enfant est seul sans ses parents je me dis qu'il n'est pas "coupable" et je suis triste.
    Pareil pour les victimes de n'importe quelle guerre.

    Pour revenir au film et selon mes principes j'ai pleuré à la mort d'Hitler, mais pas à celle de Goebbels (j'ai quand même essuyé une larme pour ses enfant, non, je ne suis pas un coeur de pierre) !

    Salut ! A la prochaine !

  • C'est demain que je vais voir ce film.........je ne vais donc pas en parler ici.

    Cependant, suite au message de "boite à images", il me semble important de préciser quelque chose.
    Hitler était un être humain........un monstre, mais un être humain. Ce n'est pas du révisionnisme de le traiter en tant que tel.
    Je m'explique.......Hitler etait un homme, pas une créature irréelle, pas un martien, mais quelqu'un fait de chair et de sang comme moi, comme vous.
    C'est justement ça qui rend Hitler absolument, totalement , définitivement , horrible.
    C'est terrible de réussir à accepter l'idée qu'un être humain, comme nous, a pû rentrer dans la peau de "Satan". Mais c'est le cas, et c'est comme ça, et c'est aussi la nature humaine....
    Je ne fais pas de la psychanalyse sauvage, et je ne vais pas jusqu'à penser que nous sommes tous des Hitler en puissance, non bien sûr. Nous ne sommes pas tous fous.....
    Mais était il fou? Et n'est ce pas une manière de nous protéger de cette horreur que de penser qu'il l'était (fou)?
    Bref, je crois que ne pas accepter le fait qu'Hitler était un homme, est une erreur fondamentale, et même dangereuse.

  • pour boite à images:
    est-ce qqun a dit que parler des qualités de peintre d'hitler était le plus important?et en quoi lui reconnaître du talent (dans ce domaine)ou même du génie veut dire qu'on l'absout??(on a quand même le droit de parler de curiosités,quelques qu'elles soient!).
    quant à parler des millions de morts du nazisme,alors là vous me faites rire!on ne fait que ça depuis 60 ans!!;(et heureusement:mais,malheureusement,on l'a souvent fait pour de mauvaises raisons:cacher,relativiser les crimes du communisme;on ressortait à tout moment la "menace fasciste" alors qu'elle avait été anéantie alors que le communisme était en pleine expansion).
    tiens!regardez,aujourd'hui encore,le déséquilibre:il y a peu,la veuve de thorez a dit que staline était un grand homme,et que le chiffre(minimal)de 75 millions de victimes des régimes communismes était très exagéré...vous imaginez qu'un type dise la même chose d'hitler,et que 6 millions de juifs assassinés,c'est très exagéré?( des révisionnistes l'ont fait:voyez le ramdam,totalement justifié,mais il serait bon qu'on applique le même traitement aux révisionnists du communisme,non?)

  • je ne crois pas qu'hitler était fou;il a perdu les pédales vers la fin,en retirant le commandement à ses généraux,etc(et peut-être dès 41,quand il délaisse l'angleterre qui était à genoux,malgréson héroisme,pour attaquer son "double",staline).

  • T'as de la chance, Mam'zelle, de ne pas avoir eu de profs napoléonolâtres (moi, j'ai trente balais) ! Qui t'expliquent que Napoléon a modernisé la France avec le Code Civil, qu'il rêvait d'une Europe unie et pacifiée, etc. Hitler a bien inventé les autoroutes, sorti son pays de l'ornière économique et accompli le socialisme dans son pays, qu'est-ce que ça retire à ses crimes ?

  • Trouvé ça sur un forum... très drôle!
    Pas signé.

    Tous ces clowns sont l'expression d'une même frustration. Asencio, frustré de premier ordre, interminablement soporifique, horriblement mauvais scribouilleur de cave à vin, un clown triste qui prétendait tutoyer Bernanos et Steiner, Sabato, Boutang, Lem et Dick, qui se branle aujourd'hui sur Villa Vortex - soulagement qu'il n'eût pas imaginé si on ne lui en avait conseillé la lecture, soit dit en passant - et qui fait preuve d'une susceptibilité de pucelle et du langage ordurier d'un collégien scatologique dès qu'on raille l'absolu non-style et la sécheresse totale de ses laborieux kougloffs. Juan est une vieille blague récurrente, un filandreux imbécile qui croit servir la langue en convoquant ses plus vieillotes expressions, un pédant crétin qui ne fait qu'étaler son pitoyable ego en lieu et place de culture. Pas une phrase sans une citation : un écrit d'Asencio n'est qu'un commentaire de texte lycéen, un peu maquillé avec quelques outrances archaïco-faisandées de hussard à la con, et une pose de martyr grotesque.

    Le prononcé de son nom suffisait à déclencher l'hilarité de tous, Juanito est une pompeuse brêle qui s'est fait ramoner du sphincter jusqu'à la glotte par tout ce que le web cultureux-branchouille compte de forums. Il est toujours désespérant de constater que pour certains, la multiplication des lectures n'apporte aucune transfiguration, aucun progrès intellectuel, aucun épanouissement stylistique, rien sinon une misérable pose de gardien du temple qui aurait fait hululer de rire ses modèles et références eux-mêmes. Un rapide parcours de son actuelle production (diable, je pensais qu'il était déjà mort écrasé sous les poids conjugués de son ego et de ses articles, citations au kilomètre et vomitive prose d'étudiant attardé, et voilà que je découvre un blog !) permet à n'importe qui de comprendre que ce gnome est une véritable plaisanterie, et l'un des contempteurs les plus objectivement acharnés du Logos dont il se veut promoteur, malgré lui sans doute. Bref, un impayable gag récurrent, au même titre que ses coreligionnaires merdaillons-du-web et englués-du-mot, ex-cancéristes et blondinettes "idéalistes", avec lesquels il échange alternativement serments d'allégeance, fellations verbeuses, et menaces de procès.

  • Attention, Juanita travaille "à la Bourse" et en toute naiveté aime à le faire savoir ! (La Bourse, le refuge de tous les ratés des maths et du droit...Filez un bouquin de Finances à un matheux ...c'est du coloriage.) Un des rares domaines ou un demeuré peut parfaitement réussir, et ils y arrivent souvent. Trader ? DEUX neurones suffisent, même une femme de ménage en use plus.
    Enfin, Juanita travaille peut être à la cantine ou à l'accueil. Mais on s'en fout....
    Alors, que devient-il au fait ? Ca fait bien 2 mois que je ne lis plus Juanita (allergique à sa prose de midinette en chaleur) De quoi cause t-elle dans le poste en ce moment ? La "chauah" ? bernanos ? bloy ? conrad ? (pour changer un peu)

  • Du calme, du calme ! Il est clair que JA est parfois un peu ridicule dans ses petits billets et que ses attaquounettes ne portent sans doute pas aussi loin qu'il le voudrait, mais que trouver de mieux sur le Net en la matière? C'est pas grand chose d'accord, mais c'est déjà beaucoup !
    Je ne vois que Pierre Assouline sinon, moins "tête à claque" mais moins intéressant aussi.

    Pour revenir au film sur Adolf Hitler: excellent (malgré la caricature ridicule qui en rajoute dans les crises etc.)

  • Si le personnage principal d'un film censé être - selon son auteur - un reportage historique, est une caricature, je ne vois pas comment le film peut être excellent…

  • Quant aux insultes un peu grosssières visant Juan Asensio, elles ont raté leur cible puisqu'on est ici chez Lapinos.

  • Exact. Respectez le thème. Marre de parler de tout et de n'importe quoi.
    Je n'ai pas vu le film. Pour les amateurs d'études hitlériennes je conseillerais les livres de David Irving et de Ian Kershaw, de loin les meilleurs.

  • Je crois que c'est Kershaw qui pensait que le réel tournant de la guerre se situait en 41(abandon de l'offensive sur l'Angleterre)et que l'impatience d'Adolf lui avait été fatale(sur le long terme).
    Euh...le billet sur Stalkerito est tout de même assez bien vu...ou pas?("pose de martyr grotesque")gloups!Scusez-moi.

  • Ben oui il y a du ridicule chez Stalker, comme il y a du ridicule chez Dantec ou chez nabe !
    Mais bon c'est mieux que de rien foutre, de rester tranquille chez soi avec son taf à 12000 balles à se foutre de la gueule des autres !

  • Quel est le bienheureux qui reste tranquille chez lui à rien foutre avec son taf à12000 balles(francs ou euros?)??

Les commentaires sont fermés.