Frissons égotistes de Beigbeder parce que ses œuvres sont traduites all over the World, even in islamic countries like Turkey !!!…
Parce qu’il a fourgué son manuscrit à un éditeur, qui en a tiré 400000 ex. et l’a fait traduire dans trente-six langues, il s’imagine que des tas de gens ont lu son bouquin ?! Mmmmh, m’étonnerait que Beigbeder ait VRAIMENT bossé dans la pub. Il m’a l’air beaucoup trop naïf pour ça. Aujourd’hui, les livres sont conçus comme des accessoires, pour déborder intellectuellement du sac de plage, pas pour être lus.
À la fin du Journal de Frédéric, sa copine le largue pour une autre fille et ça lui fout les boules. Ça manque un peu d’originalité, je trouve, c’est un peu soft. Moi je croyais que la chute serait que Françoise, en fin de compte, était un transsexuel (MtF, of course). J’étais pas si loin.
S’ils s’étaient mariés et qu’ils avaient eu BEAUCOUP d’enfants ou, mieux, qu’elle était entrée chez les Petites Sœurs des pauvres, le public de Beigbeder, essentiellement féminin, en aurait été tout retourné sur la plage de Deauville où il se dore le nombril* ! Mais, s’il y a bien un truc que les publicitaires préfèrent éviter, c’est de décontenancer la ménagère de moins de cinquante ans…
Ça me rappelle que j'ai un pote qui a réellement été largué par une fille qui a préféré entrer au couvent, finalement. Un truc comme ça me serait arrivé, franchement, je ne sais pas si j'aurais pu m'en remettre - contrairement à lui qui en tire une certaine fierté.
*ou de Biarritz, ou de Collioure, ou de La Baule, etc.
Commentaires
Je t'ai mis en lien chez moi. Si ça te gène, tu dis et je vire.
Irina, toi au moins tu ne viendras pas te plaindre de mes plaisanteries machistes ! Et puis je sens tellement de retenue et de pudeur derrière ces quelques mots peu châtiés d'ado à peine remise des tourments de la puberté ("Si ça te gêne, tu dis et je vire"), que je suis trop ému pour te refuser l'autorisation que tu sollicites si âprement…
(Même si ça me fait un peu chier d'être rangé derrière un gugusse que je ne connais pas, mais dont le pseudonyme, "Albator", évoque les japoniaiseries dont on abreuve la jeunesse depuis trente ans pour la lobotomiser.)
"Irina, toi au moins tu ne viendras pas te plaindre de mes plaisanteries machistes " > peu de risques, effectivement.
"Et puis je sens tellement de retenue et de pudeur derrière ces quelques mots peu châtiés d'ado à peine remise des tourments de la puberté ("Si ça te gêne, tu dis et je vire")" > si la pudeur est réservée aux ados à peine remise de la puberté, alors peut-être... à ceci près que, mathématiquement, j'en suis quand même sortie depuis quelques années, de la puberté.
"tu sollicites si âprement…" > la politesse est-elle âpre? Je demande parce que je préviens en fait.
"(Même si ça me fait un peu chier d'être rangé derrière un gugusse que je ne connais pas, mais dont le pseudonyme, "Albator", évoque les japoniaiseries dont on abreuve la jeunesse depuis trente ans pour la lobotomiser.)" >> Albator n'est pas vraiment japoniaiseux je crois. Mais il n'a besoin de personne pour se défendre.
Irina, si je puis me permettre, vous ne savez pas quelles sont les plaisanteries machistes qui font la force de Lapinos, comment pouvez-vous, en ce cas, vous avancer à prétendre ne pas vous en offusquer ?
Je précise, Irina, que les plaisanteries auxquelles je pense n'ont rine à voir avec une petite bise ou quelques mots grivois.
Ça y est, voilà le SAMU de la pensée féministement correcte qui débarque… Irina, tu m'as foutu dans un sacré pétrin !
Sais-tu que cette Mamz'elle est tout à fait capable de me passer la camisole de force et de me faire torturer ensuite par sa garde personnelle de post-adolescents fanatiquement acquis à sa cause, jusqu'à ce que j'admette publiquement que la femme est l'égale de l'homme.
Donc Irina, je t'en supplie, avec l'aide de Corto Maltese, du baron von Ungern-Sternberg et même d'Albator si tu y tiens, sors-moi de là !
Je ne connais Lapinos que par son blog mais ça fait un bout de temps que je le lis. J'ai donc eu un aperçu. Mais je ne suis surement pas aussi experte que Mamzelle...
Désolée pour le pétrin, lapin.
Experte en quoi ? En calembours ?
En détection du machisme et de la blague inhérente.
Lapinos enfin lâchez cette mauvaise foi et expliquons nous !
J'ai été plutôt surprise, et pas dans le bon sens du terme, par votre intervention stipulant que l'épisode du viol auquel j'ai échappé de peu, me ferait un excellent souvenir à raconter à mes petits enfants, ainsi que par votre comparaison avec une bagarre à laquelle vous participâtes.
S'il est féministe de dire que le viol est un crime alors oui, je le suis, plutôt deux fois qu'une.
Sans compter que ce n'est pour vous, à vous lire, qu'un petit fantasme de mal baisée..
Je vous apprécie pour toute la correspondance que nous avons eue, pour tous les sourires que vous avez fait naître sur mon visage, pour tout le plaisir que j'ai eu à vous écrire et à vous lire, mais comprenez que cela soit trop pour moi.
Je crois que vous n'avez même pas idée du traumatisme que cela a pu être pour moi, de la haine que j'ai longtemps ressentie contre moi-même, contre les témoins impassibles, contre les hommes en général.
Et je suis choquée de constater que vous prenez cela avec légereté, vous imaginant peut-être même que cela ait pu m'exciter.
Bien à vous.
ben mon lapin de choux, fuis dans la garenne, le salut tu trouveras!
N'avez-vous pas remarqué, Mamz'elle, que je m'abstiens désormais de toute blague douteuse sur votre blogue ?
Les chattes qu'il faut toujours caresser dans le sens du poil finissent par me raser, et ce mélange de câlineries et de calomnies que vous déversez sur mon compte me dégoûte assez.
Retournez donc à vos courtisans sans craindre que je vous importune plus longtemps.
Bien à vous.
Fort bien, je reste donc sur cette déception même si je ne vois pas bien à quelles calomnies vous faîtes allusion.
fort bien, moi je vois fort bien...euh ça va lapin j'en fais pas trop là?