Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Salut les "copains" !

Pierre Delanoë est décédé. Il paraît que ce monsieur était "chansonnier". Quoi qu'il en soit, sa mort ajoute une énigme de plus à la déjà longue liste des "Grandes énigmes du XXIe siècle". Après :
• "Comment peut-on ne pas être élu quand on est socialiste ?" ;
• "Comment peut-on être noir et serrer la main de Le Pen ?" ;
• "Comment dire du mal de Chirac qu'on a élu avec 80 % des voix ?" ;
• "Comment peut-on s'inviter chez les pauvres quand on est riche ?" ;
• "Comment peut-on encore se cailler les miches alors que les pôles fondent à plein tube ?", voici maintenant la dernière : "COMMENT PEUT-ON ÊTRE RÉAC ET AVOIR DU TALENT ?"

Selon son interprète Georges Moustaki, Pierre Delanoë n'était pas "réac" mais plutôt "gâteux". Selon moi, si Moustaki était "métèque" autrefois, tout indique qu'il est désormais complètement "affranchi".

Commentaires

  • J'ignorais que Delanoë était réac. En même temps, j'ignorais aussi qu'il avait du talent.

  • ... EN ETANT REAC-TIF !

  • C'est ce que les journalistes disent, mais rien ne vous oblige à gober tout ce que disent les journalistes, Gloups !

    (Dans ce cas précis il était plus facile d'abaisser le coefficient "réac" plutôt que le coefficient "talent" étant donné qu'on nous passe en boucle tous les succès de ce Delanoë-là à la radio. S'il a serré la main un jour de Le Pen et qu'il existe une photo de cette poignée de main, je ne vous dis pas, les médias vont carrément être obligés de faire appel à Finkielkraut pour tenter de justifier l'injustifiable - ou injustifier le justifiable, comme vous voulez.)

  • Tu avais le choix entre Gérald Ford, Jacques Crozemarie et Pierre Delanoë, qu'est-ce qui t'as fait préférer le dernier ?

  • Je croyais qu'il était déja mort Crozemarie !

  • Et pourquoi pas James Brown tant que vous y êtes, Driout ? Il y a un truc qui vous gêne chez James Brown, peut-être ?

  • Moi je croyais que c'était vous qui étiez mort, Tlön !

  • On a dû vous dire "maure" et vous avez entendu "mort".

  • Enfin il me semblait que Mister Sex Machine avait un véritable talent !

    Voyons, réfléchissons si une jeune fille avait eu le choix de passer sa soirée avec un de ces quatre maccabés de qui aurait-elle voulu ?

  • Me demandez pas de me mettre dans la peau d'une jeune fille, Driout.

  • Aucune copine à qui poser la question ?

  • Je tiens à préciser que le précedent Tlön n'est pas moi.
    Mort non ! Mais je n'avais point trop de goût pour l'argutie ces derniers temps.

  • Oui, vous n'êtes pas le seul sarkozyste que je connais en ce moment à être déprimé… Bien sûr, pour 2007, c'est mal barré, mais rien ne dit qu'en 2012 Sarko n'a pas une chance, hein ?
    Aussi vous feriez mieux de lire des trucs un peu plus gais que Proust…

  • Sarkozyste ????
    Mais je vous lis...

  • Ne vous attachez pas excessivement aux définitions ou aux étiquettes, Tlön, elles ont une utilité pratique, c'est tout. Je dis "sarkozyste" pour simplifier, parce que vous avez des idées plutôt conservatrices et que vous n'êtes pas "lepéniste", bien entendu… Mince, vous n'allez quand même pas me dire que vous êtes pour Mendès-France, comme Finkielkraut ?

  • Je vais peut-être vous étonnez mais je trouve Le Pen plus "intéressant" que Sarkosy mais il y chez lui (Le Pen) une certaine forme de vulgarité (le mélange du subjonctif et du bon mot, un coté boulevardier, au sens théatre de boulevard, il faudrait préciser tout cela...) qui me déplait fortement.
    Quant à Sarkosy le moins que l'on puisse dire c'est qu'il manque totalement d'épaisseur (culturelle, historique etc) .
    Que voulez vous j'ai le regret des grands hommes

  • Moi c'est plutôt Sarkozy qui m'intéresse, je le connais moins et puis il bouge beaucoup. Je le trouve même plutôt sympathique : le côté candide, vous voyez ce que je veux dire ? Il met un peu d'enthousiasme et de naïveté dans cette campagne électorale. C'est plutôt son entourage qui est imbitable : Jean-Louis Debré, Finkielkraut, Jean-François Copé, Antoine Wauquiez, Patrick Devedjian, quand vous les comparez à la garde rapprochée de Ségolène, ils sont vraiment crétins (Seuls trouvent grâce à mes yeux Arnaud Klarsfeld et Fabien de San-Nicolas, mais le pauvre, son nom est un vrai gag.)

    C'est marrant parce que les objections que vous faites sur Le Pen, Tlön, la vulgarité, le côté boulevardier, ce sont exactement les mêmes que ma mère fait, au mot près ! Moi j'adore ça le boulevard. Est-ce que Céline ne descend pas du boulevard en partie, d'ailleurs ? Pas le même que Proust, évidemment. Mais surtout ce qui me plaît le plus chez Le Pen, c'est qu'il parle de la mort, si vous faites gaffe, pratiquement dans chacune de ses interviews. Ça c'est un tic d'artiste à mon avis.

    Sinon quand vous dites que vous avez "le regret des grands hommes", Tlön, vous voulez parler de Hitler ou de Staline ?

  • Mais non, c'est de Jacques Séguela !

  • C'est marrant, j'ai failli, hier en fin d'après-midi, prendre un verre avec R.Holleindre rencontré dans un bar-tabac (il buvait une infusion) à coté de chez moi. Je le reconnais à sa voix, il me propose de prendre un pot. J'étais malheureusement pressé et n'ai pu accepter mais je vais voir si il est du coin.

  • Arrêtez un peu de faire votre Dieudonné, Tlön, vous n'êtes pas crédible.

  • Je ne sais pas quel âge vous avez monsieur Lapinos, mais comme beaucoup de gens en cette époque, vous êtes un peu déboussolé... Pourquoi mélanger un type qui a écrit quelques centaines de trés belles chansons avec des histoires sordides de politique ?

    Même s'il n'avait écrit qu'une seule bonne chanson, monsieur Pierre Delanoë aurait droit à toute mon admiration. Il y a aujourd'hui en France des auteurs compositeurs trés jeunes, pleins de talent, appartenant à toutes les mouvances politiques ou philosophiques, et on s'en fout, une belle chanson ça vaut tout l'or du monde !!

  • Il n'y a pas de politique sordide, il n'y a que des gens sordides, Mauridub, et je trouve la gêne des interprètes de ce Pierre Delanoë lorsqu'on évoque les idées politiques de leur parolier en public très révélatrice de l'époque de couilles molles où nous vivons, où en dehors du Top 50 des idées à la mode, on n'a qu'à fermer sa gueule.

Les commentaires sont fermés.