Dans le langage laïc, une banque est considérée comme une "personne morale". Sinon à part les crétins qui ont placé leur argent à la Caisse d'Epargne, tout le monde sait que la réputation de l'écureuil et de faire des provisions, de les planquer... et puis de ne plus jamais les retrouver.
Commentaires
J'aurais écrit ça comme ci : "Tout le monde sait que la réputation de l'écureuil — est — de faire des provisions — ; — de les planquer et puis de ne plus jamais les retrouver.
Mais bon, ça ne change rien au fond du problème, c'est sûr...
Dieu seul sait où passe le fric de la Poste...
Etant donné que la physique quantique est une science légale, votre remarque sur mon orthographe déplorable était assez prévisible. Vous n'êtes qu'un sémaphore comme Finkielkraut, Lothar : prenez garde, je vous répète que dans le système de pensée conventionnel qui est le vôtre (la physique quantique est une translation de la science astronomique en science juridique), les interstices peuvent se changer instantanément en gouffres. Voyez la chute de Dom Juan.
Non je ne suis pas encore procureur de quoi ou de qui que ce soit ; je voulais juste vous signaler une faute de grammaire (un peu pénalisante pour la compréhension du texte) due sans aucun doute à une frappe trop fébrile laquelle arrive à tout le monde.
Juste rendre service ; c'est tout...
Pas taper !
C'est un truc que je conseille aux mecs qui veulent éviter les gonzesses chiantes genre institutrices laïques ou bonnes soeurs refoulées : simuler une orthographe déplorable pour les faire fuir ; l'orthographe c'est bon pour les crétins comme Finkielkraut ou Philippe Muray qui savent à peine causer français.
ça vaut dans l'autre sens aussi, il vaut mieux se méfier des gonzesses qui ne font pas de fautes, au plumard ce sont les pires.
Si je peux me permettre un petit aparté théologique : on reconnaît un protestant ou un Juif à ce qu'il dit n'importe quoi sans faire de fautes d'orthographe (Muray à propos de Céline, par ex.) ; un catholique, lui, dit des choses claires et importantes en faisant plein de fautes.
Contre-exemple : Jacques Chardonne, protestant qui faisait plein de fautes et exprimait clairement le peu qu'il avait à dire.