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Aufklärungen, bitte!

Après le fameux problème de l'"identité française", manière de résoudre la France comme un Allemand à une équation balistique sur un grand tableau noir, pour finir par conclure que "tout est dans tout", Herr General, la relativité paradoxalement parfaite et le meilleur des mondes improbable mais fort possible, voici venu le temps de s'interroger sur le problème brûlant de l"'identité européenne".

Vendre l'idée de marché à une clientèle à sec, qui crie : "Remboursez !!", et refourguerait volontiers deux ou trois parlements avec leurs habitants pour récupérer une partie de la dette, voilà qui exige d'avoir fait au moins HEC+polytechnique, et d'avoir répondu à toutes les fiches de "Question pour un Champion".

Vraiment les Africains devraient se dépêcher d'entrer dans l'Histoire. Ils ne savent pas ce qu'ils perdent et comme la science laïque est fondamentale.

 


Commentaires

  • Cher ami,

    J'ai par bonheur passé sur un de vos paragraphes et ébloui, j'ai dû en citer une partie pour une critique littéraire d'un livre parlant du plus grand tueur en série de tous les temps.

    En espérant que vous n'en preniez pas ombrage,
    je vous salue.

  • Du moment que vous n'avez pas oublié de mentionner que les systèmes industriels qui tuent en série des hommes, les systèmes Dassault par exemple, procèdent d'une mentalité similaire -à savoir l'absence de couilles-, similaire à celle du tueur en série isolé : dans ce cas je n'ai pas de quoi me formaliser.

    Notez l'importance de la "matrice" dans les principes balistiques.
    Notez aussi combien il est spirituel de rebaptiser un bombardier ou un canon "outil de défense nationale".

  • Pour mon malheur le médicale n'aime pas ce genre de tueur nationalisé ... C'est pour cela que ce genre de spécimen acquisiteur de tous les pouvoirs passent de belles journées dans des états bien libérées.

    Néanmoins, mon livre insiste sur le fait que le plus grands des tueurs en série n'a qu'un seul défaut, il n'est pas par le contact physique fortement véritablement socialisé.

  • Le joueur de Hamelin n'emmène pas, en effet, les enfants au ravin en les prenant par la main un à un. Il use d'un autre moyen pour les y entraîner.

  • Rien compris mais vivre sans les plus belle qualités du monde est un choix qui n'appartient qu'vous 2

  • Le joueur de flûte est un des plus beaux et récents mythes européens qui soient. Très oublié et fort méprisé, sans doute parce qu'il n'est ni grec, ni romain, ni français. Oublions l'Europe, la France et tout le toutim donc. Nous ne sommes plus bons qu'à nous souvenir et encore, très mal... vae victis et advienne que pourra.

  • Il y a une beauté selon la forme féminine, Debled, et une autre selon la forme masculine. Depuis la nuit des temps les musiciens sont en guerre contre les peintres, et les peintres contre les musiciens. La ruse des poètes et leur triomphe momentané n'y change rien. Aussi empressés soient Freud ou Nitche à ensevelir la mythologie grecque sous des tombereaux de merde judéo-chrétienne, le Parthénon a tenu bon et les archétypes résistent. La balistique romaine est impuissante contre l'art.

    - Lothar je peux vous dire en tant que Français que le joueur de flûte de Hamelin a été fort bien assimilé par la culture française, au même rang que les contes de Perrault ou ceux d'Andersen, celui notamment où un gosse désigne la nudité du roi sous la pompe et le faste. Voyez que Simone Weil, par exemple, a lu Andersen quoi qu'il ne soit pas Français comme elle et en a déduit que Max Planck et tous les branleurs quantiques, à commencer par son propre frangin et les imbéciles du groupe Bourbaki ne sont pas des "savants" comme leurs revêtement bourgeois peut faire croire, mais bel et bien des charlatans.
    Comme je disais il y a quelques jours sur ce blogue, les lectures d'enfance comptent aussi, Lothar, et je vous suggère de relire le "Savant Cosinus".

  • Si vous lisez un tant soit peu mon misérable et pitoyable blogue, Lapinos, vous comprendrez bien vite que mes lectures d'enfance comptent plus que tout.
    Par ailleurs, c'est bien ce que je pensais, vous n'avez rien compris au mythe (pas légende ou conte) du joueur de flute. Vous n'êtes pas le seul du reste et hélas.
    C'est un mythe, un vrai, un dur, un tatoué mythe mon Lapin, pas un billet de blogueur de banlieue ou un discours apéritif de Noël dans la dernière cellule du parti communiste slovène.

  • Blablabla. Et si vous donniez plutôt le sens de ce mythe, selon vous ?

    En ce qui me concerne, je n'ai fait que relever que ce conte mythique souligne la fascination que la musique exerce sur des esprits immatures. Voyez aussi comment Hitler subjugue les foules allemandes : par des discours "musicaux", alternant les rythmes, les tonalités -une vraie "bête de scène", comme on dit. Ce type de discours, dont le contenu n'a pas d'importance, et on voit bien que Hitler s'en contrebalance, ce type de discours n'opère que sur un public très "féminin", dans le sens d'hystérique, facile à manipuler sentimentalement.

    C'est le grand mérite du peintre lyonnais Chenavard de souligner dès le XIXe siècle contre Baudelaire et Delacroix que le progrès de la musique est un signe de progrès de l'hystérie et de diminution de l'intelligence. Vous comprenez ainsi pourquoi c'est le mythe qui est historique, quand Lévi-Strauss ou Nitche ne sont que de pauvres mythomanes sans intérêt. Quand Lévi-Strauss parle des tropiques, ou Nitche du bouddhisme, en réalité ils ne parlent pas des tropiques ou du bouddhisme, ils ne font que parler d'eux-mêmes.

  • Bla, bla, bla... Autant pour vous Lapinos. C'est vraiment l'Hôpital qui se moque de la Charité hein ! Non ?
    Oui, je vous dirai ce qu'est un véritable mythe, à mon sens, mais pas ici (et je ne suis pas un apôtre ni un prophète non plus ; que les dieux m'en gardent surtout ; ce sera vraiment tout ce que je leur demanderai, s'il le faut !)

  • - Pour moi Homère est de plain-pied dans l'Histoire tandis que Sarkozy ou Benoît XVI n'ont pas de prise dessus, Lothar.
    Non seulement la mythologie ne s'oppose pas à l'Histoire à mes yeux, mais j'affirme que Lévi-Strauss, Nitche ou Freud ne sont que des mythomanes qui ne se connaissent pas eux-mêmes.

    - Le fossé entre nous est tel que je situe la "sortie de l'histoire" au XVIIe siècle qui vous est le plus cher. Pour un combattant comme moi au côté de Karl Marx et de François Bacon il n'a même pas de "mythe", il n'y a que des mythomanes remplis d'orgueil, des joueurs de pipeau dont le concert entamé au XVIIe s'achève dans la cacophonie et le cinéma. Il vaut mieux que nous causions franchement ou pas du tout.

  • "En ce qui me concerne, je n'ai fait que relever que ce conte mythique souligne la fascination que la musique exerce sur des esprits immatures. Voyez aussi comment Hitler subjugue les foules allemandes : par des discours "musicaux", alternant les rythmes, les tonalités -une vraie "bête de scène", comme on dit. Ce type de discours, dont le contenu n'a pas d'importance, et on voit bien que Hitler s'en contrebalance, ce type de discours n'opère que sur un public très "féminin", dans le sens d'hystérique, facile à manipuler sentimentalement."

    L'auditeur (que je suis) de musique classique, de chanson française ainsi que de métal et dérivés, ne peut que se ranger à votre constatation. La grandiloquence Nazie est rejetée par convention ou fascination honteuse. Combien se retiennent de dire "ça avait sacrément de la gueule tout de même !"

  • La musique classique intrumentale moderne naît au XVIIe siècle en même temps que renaît la géométrie algébrique pythagoricienne.
    Aristote est d'ailleurs parfaitement au courant du rapport entre Poséidon, les "fables de Pythagore" et de sa secte, et la musique.
    En tant que peintre, une chose m'a toujours frappé chez les musiciens, c'est la quasi-absence d'esprit critique et la façon linéaire dont ils conçoivent le progrès lorsqu'ils le conçoivent ; en dehors de quelques exceptions comme le grégorien, qui est clairement une tentative pour inventer une musique "anti-animiste", tendant à gommer la passion au lieu de la susciter.
    Mais à ma connaissance il n'y a pas de musicien qui s'élève comme Ingres s'élève en disant : "Rubens et Rembrandt, même si c'est "fait", ça n'est pas à faire." Critique d'Ingres que le crétin existentialiste fétichiste raillera sans même chercher à la comprendre, alors que Ingres signale un truc très pertinent, c'est que la musique est un art essentiellement politique. Et que, partant de là, le "stade politique" est le plus primitif.
    Paul Chenavard à peu près à la même époque a parfaitement compris que l'inflation musicale est un signe de l'aliénation grandissante des individus qui composent la société française.
    Picasso, pour ne pas parler du patouilleur boche Kandinski, complètement sous l'empire de la musique, Picasso se retrouve d'ailleurs dans une situation analogue à celle de Lévi-Strauss, captivé par un art primitif extrêmement politique et musical, non pas par un quelconque "tropisme", mais en raison de sa propre situation de citoyen vivant dans un régime barbare.

    Pas difficile de comprendre l'effet de la musique utilisée par des tortionnaires sur des prisonniers d'ores et déjà enfermés dans des cellules. Il y a sûrement des moyens de faire basculer un prisonnier dans la folie plus rapidement (j'en connais au moins un et je crains que l'armée yankie ne le connaisse aussi), mais l'intérêt de la musique pour les tortionnaires doit être de pouvoir calculer et maîtriser ses effets avec assez de précision.

    On voit bien du reste en lisant le Nouveau Testament que l'homme surnaturel N'EST PAS un homme politique. et que d'ailleurs lorsque le Stagirite dit qu'il l'est "par nature", cela n'exclut pas dans son esprit que l'homme puisse surmonter sa nature générique.

  • Attend 2 jour et on s'explique vraiment

    Ta littérature : No comment same my name s

    And iam working girls so quiet et so thank for my decided of my serial books en temps réel et cà sa me ferait vraiment marrer que ma liitérature d'un parfait tueur en série en tomnbe éperduement amoureux même filiformé comme j'aime mais et ça j'en suis sûr comme Moi nous avons en horreur d('un système filigramer comme la définié ce vharmant prénom Célinius ...

    I LOVE YOU

  • Et merci encore pour avoir ta mise en touche définitive à ce merveilleux livre assassin.

    Note : j'suis idiot ou quoi mais j'aime bien fritter la gueule à OFFice

    ICH BIN ONE LOVER MORE ............................................................. / / / / / / / //////++++++++++++

    Comme quoi pour s'amuser il faut et ca c'est un ordre au moins cette été que par amour tu prennes ton pied

    Le plaisir n'a pas de littérature

    BON FINI et TERMINE

  • BOn plus sérieusement je n'est pas eu le temps de te lire et à dans 2 jours.

  • [...]une chose m'a toujours frappé chez les musiciens, c'est la quasi-absence d'esprit critique et la façon linéaire dont ils conçoivent le progrès lorsqu'ils le conçoivent[...]

    Et encore Lapin, vous ne connaissez pas de fan de metal "progressif" :D

    Je vous taquine.

  • L'âme des musiciens est taillée selon la forme de leur instrument ou de leur musique préférée. C'est pour ça que Nabe est assez tortueux parfois et m'irrite quand il se met à vibrer.
    La musique électrique donne, elle, comme le cinéma, une âme binaire en forme de cercle, qui cherche son point d'équilibre sans jamais le trouver. Le progrès vers la mort est trigonométrique.

  • J'ai fais un dream en dansant l'un contre l'autre j'ai réaliser pendant 3 heures ensemble toue en respectant les délais un brin de philo à publier.

    sujet : The pleasure is a truth ?

    I Love You ...

  • For Shakespeare lust and legal pleasure (marriage) are two legs of the same beast, which is a whale.

  • OUi c'est un ordre §

  • j'ai mis 15 pour la littératurre mais tion manque cetaines de conviction mérite au mains cette note.

    Mon plaisir est vrai donc je te diet comme moi Yes at life.

    Néanmoins j'aurais obliger la religion dans ton sujet par contre si je suis ton amants alors c'est oui.

  • Bien tu ne me répond toujours pas donc voila mes qualité mon amour : je usis brutal, soudain et rude ; ainsi j'ai la littérature et la langage.

  • Language is a snake that women do love, darling!

  • Bon sino je te trouver un post sur le web intéressante et attirant je crois donc c'est parfait pour nous 2.

  • Do not think two but three. Two is female and male is three. Fucking everybody or nobody is the same and this is two. Two is the funeral swan :

    "Let the priest in surplice white
    That defunctive music can,
    Be the death-divining swan,
    Lest the requiem lack his right."
    W.S.

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