"Globalisation" : je n'arrête pas d'entendre ce gros mot. Vu qu'il est question de géographie et d'une idéologie économique contenue entièrement dans le langage, il vaut mieux parler de "cercle vicieux" pour désigner ce serpent de mer.
Les "trous noirs", c'est-à-dire les crises économiques depuis le début de la "globalisation" correspondent exactement aux trous noirs "astronomiques". La géométrie inepte de Gauss, Beltrami, Helmholtz, Riemann et toute la clique des pollacks, en effet n'a d'usage que sur le plan de la coordination géographique à l'aide de cercles.
Les Grecs avaient Euclide, et nous avons des géomètres-experts, le GPS, dont découle l'essentiel de la philosophie naturelle laïque ; la "physique quantique", qu'est-ce que c'est ? Une vision du monde à travers un GPS. En fait de "trou noir", il s'agit plutôt d'une "descente aux Enfers".