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Printemps des antipoètes

L'amour de l'homme conduit à la haine de la société. Le dégoût de l'homme incite au contraire à la politique. Toute morale, politique ou religion judéo-chrétienne repose sur la pire tare de l'homme : la peur.

Qui peut être dupe désormais que le Léviathan n'est qu'un monstre froid puisque même ses lévites le reconnaissent ?

Commentaires

  • Et que reste-t-il à celui qui aime et est dégoûté par l'homme ? (l'envie de plaisanter en répondant "virer lesbo" suggèrerait que ceci n,est pas une vraie question alors que si, je souhaite votre réponse)

  • Je n'ai pas bien compris sur quel genre d'objet votre amour se porte ? Pour être honnête avec vous, le concept de "femme aimante" reste assez théorique à mes yeux. Les femmes "veulent", "désirent", "achètent", "collectionnent", mais aiment rarement.
    Rien n'est plus trouble que l'amour d'une mère pour son enfant, par exemple, et je suis toujours gêné devant une manifestation de tendresse d'une mère vis-à-vis de son rejeton, dont le caractère incestueux saute presque toujours au yeux.

  • Récapitulons, Lapinôsse, puisque vous ne retrouvez même plus vos propres chats... Vous évoquiez le cas de qui aime l'homme, puis le cas de qui en est dégoûté mais, quid de qui éprouverait l'ambivalence ?? À quoi cette ambivalence devrait-elle mener, selon votre logique ?

    Par ailleurs, montrez-moi un homme qui ne se cherche pas soit une bobonne, soit une maîtresse, mon bon ?

    Autrement, vous nous concotez un remake de Romulus et Rémus, si l'on vous comprend bien ?

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