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adultère

  • Le Christ anarchiste

    Ne pas lapider la femme adultère qui contrevient aux lois et préjugés sociaux.

    - Que ceux qui n'ont jamais commis le péché de fornication jettent la pierre aux gays, pourrait-on dire aujourd'hui, et comme l'invention du mariage catholique est un tel péché, la société n'est formée que de spécimens qui s'accusent les uns les autres afin de se justifier.

    Le Christ regarde la société comme la chaîne qui relie le maître à l'esclave, et l'esclave au maître, indéfiniment. Le Christ est totalement indifférent à l'art ou à l'anthropologie : il sait son pacte passé avec le diable, et la solution finale irrémédiable de ce pacte. Pas de place dans la société pour l'amour, auquel l'anthropologie ne laisse pas de place.

    Le discours du clergé de la synagogue de Satan consiste à humaniser le Christ. L'apôtre Paul est justifié d'affirmer qu'il a part à l'éternité, grâce à l'esprit.

    Les apôtres, n'ayant pas encore été confirmés par l'esprit de dieu, sont stupéfaits d'apprendre que leur maître n'a cure de la ruine du temple de Jérusalem.

    L'attachement aux institutions de toutes sortes est la marque des esprits qui n'ont pas reçu l'appui de l'Esprit, réclamant de lui un confort ou une vertu qu'il ne procure pas.

    L'anarchisme ou le mépris du Messie pour l'art et les institutions humaines est la contrepartie logique de son amour pour l'humanité. L'attachement à l'ordre humain empêche l'homme de s'aimer. L'infraction de la femme adultère ne regarde pas la justice divine, qui sonde bien au-delà de la capacité de l'homme à se soumettre ou à transgresser le code civil.