« Je crois, Lapinos, que chaque instant de bonheur nous devons le payer avec autant de souffrance. » (Une bobo)
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« Je crois, Lapinos, que chaque instant de bonheur nous devons le payer avec autant de souffrance. » (Une bobo)
Commentaires
Elle est très Port-Royal votre bobo, dites-moi !
Vous trouvez ? Non, en fait elle est athée d'origine protestante.
Du jansénisme au protestantisme, ou inversement, il n'y a qu'un pas...
Ce doit être une fille austère qui se marre, comme disait Jospin.
Je tiens à préciser : je ne suis pas l'auteur de cette phrase ;-)
Au fait, merci Lapinos pr tes compliments toujours aussi fins ! Mais j't'en veux pas, tu as un passé lourd...
Mais... vous avez des fréquentations très interlopes !
Tout ce que je sais, c'est qu'elle fait pipi dans son bain. C'est original.
Ça, c'est très sain, et je le rangerais plutôt du côté des circonstances atténuantes.
Il vous remercie...
Une sorte de purgatoire ou alors les limbes en quelque sorte.
Plutôt le purgatoire.
A bien y reflechir je préfère un Haut-Brion 1970 accompagné d'un "trou du cru". Et non, ce message n'est pas sans lien avec votre billet allo maman bobo.
Haut-Brion 1970 ! Mazette, il va falloir sonner à un autre clapier si vous voulez vous faire offrir un tel nectar. Je ne suis qu'un modeste lapin… Cela dit, avec le trou du cru, un Gewurtzstraminer des caves de Pfaffenheim conviendrait aussi bien, non ?
Je m'aperçois que j'ai oublié de vous adresser mes condoléances… pour votre tailleur.
Je ne suis qu'une modeste suicidaire mais je peux me l'offrir. Un Gewurtztraminer...oui, si j'aimais le blanc. Un Madiran bien couillu peut tenir compagnie au trou du cru dans le clapier du Lapinos.
Merci pour les condoléances mais le tailleur est toujours vivant. Il arborait le noir de circonstance.
Vous, modeste, avec votre tailleur noir, vos grands crus et vos petits trous du cru, vous plaisantez ? Le Madiran me va à un point que vous ne pouvez pas soupçonner (j'ai assez soupé du Buzet), mais arrêtez de me chambrer ou j'ai le bouchon qui va sauter.
Vous l'aurez voulu, je ne vous chambre plus!