La racaille gaulliste, déjà sous Chirac, s'efforçait de salir Mitterrand. Le but étant notamment de dissimuler la parfaite accommodation aux lois allemandes d'Occupation d'industriels laïcs ou démocrates-chrétiens, les avionneurs Potez ou Dassault notamment, dont les Chirac étaient proches.
Pierre Péan s'est employé à dissimuler ce lourd passé de non-résistance dans un bouquin sur Chirac à l'usage des ménagères et des abonnés au "Figaro".
C'est à peu près le seul secret de Chirac et du gaullisme, parfaitement transparent pour le reste.
Le truc qui revient en boucle dans les médias gaullistes, c'est le coup de Mitterrand et de sa cartomancienne Elisabeth Teissier... Pourtant entre une astrologue et un bouffon comme Jacques Attali, on peut penser que Mitterrand avait fait le meilleur choix. Sans compter le loustic Jean Guitton, chargé lui aussi de temps en temps d'amuser le Président avec ses jongleries pascaliennes.