Il y a encore de la place en France pour l'humour de Coluche ou de Jean-Marie Bigard, mais on voit bien qu'il n'y en a plus pour l'humour d'Alphonse Allais. L'écart entre réalité et absurdité s'est considérablement comblé depuis Allais.
J'en veux pour preuve que l'humour d'Allais, taillé pour divertir les Parisiens au saut du lit, se retrouve désormais rangé au rayon "Science" des bibliothèques : c'est Karl Popper, par exemple.
La devise de Popper en termes "allaisiens" s'énonce telle que : "En Science comme aux Jeux Olympiques, l'essentiel c'est de participer."
Popper : en voilà un qui a de bonnes chances de figurer dans le peloton de tête du Top 50 des crétins qui ont marqué le Siècle de la Lumière.
Commentaires
censure ? en quel honneur ?
Pas de lien vers wikipédia sur mon blogue. Je suis communiste : j'aime encore mieux la censure franche de Napoléon ou des nazis plutôt que le fatras de supersititions dont les Etats-Unis, actionnaires de ce projet babélien, recouvrent la Vérité.
Ce type de censure là conduit immanquablement les enfants à se jeter dans les bras de faux prophètes.
>J'aime trop la science pour accepter que des charlatans yankis la prostituent.
pas du tout certain que la science vous rende la politesse, monsieur.
LE DIAGNOSTIC IDIOT, posté ici même par mes soins, était extrait (et encodé manuellement) de Lecture substantielle.
mais peu importe, vous m'avez tout l'air d'une bien triste et haineuse créature. aussi veuillez ne pas comptez sur moi pour vous plaindre. adieu
comptez [modifier]
Il est même certain que l'ingéniérie et les ingénieurs m'emmerdent, Jules.
Quand je parle de savants, je parle d'Hamlet ou de Karl Marx, pas d'un coucou sorti de l'X.