On voudrait nous faire croire à la coïncidence de la "Journée de la Femme" et de la baisse de la virilité au Danemark. Un homme qu'on force à baiser avec une capote ce n'est plus un homme, c'est juste une femme en moyenne mieux payée que les autres. Une journée du sexe ou de la science serait plus appropriée.
Commentaires
"Un homme qu'on force" etc, c'est une femme parce qu'on le force ?
Sinon les Danois sont moins virils au début de mars, on a mesuré ça ? il y a vraiment des études ridiculement précises !
(Sinon je vous rappelle qu'on a déjà une semaine de la science, je ne me rappelle plus si en automne ou au printemps. Pour le sexe, sans que ce soit à proprement parler la fête du slip, j'ai un peu le sentiment que c'est tout le temps la fête du sexe, le plus triste qui soit mais il en va ainsi de toutes les fêtes du calendrier républicain - je ferai une exception pour les bals du 14 juillet, dont je raffole, en bonne midinette enracinée.)
Il n'y a pas que les Danois qui sont au bord de la stérilité complète, mais c'est une tradition catholique depuis Shakespeare de voir dans le Danemark le Cap de la Pourriture (Cf. Léon Bloy).
N'ont-ils pas attaqué récemment l'islam à coups de missiles médiatiques, l'islam qui se fait ratatiner par ailleurs sous les bombes et se défend avec des cutters ? Défilé du 14 Juillet, grosses chenilles et grosses caisses ou pas, moi j'appelle ça des fiottes.
La discipline, c'est la force des armées : remplacez-y les hommes par des gonzesses, ce que les Israéliens ont très bien pigé, notamment en deuxième ligne où la guerre se gagne, et vous doublerez l'efficacité d'une armée.
Une gonzesse est prête à se faire tuer pour son pays, c'est-à-dire pour rien. Un type c'est différent ; voyez Céline, dès qu'il a démystifié le truc, il renâcle. Son corps vaut mieux que l'idée de patrie. Et il a raison (je veux dire au plan chrétien).
L'implication des femmes dans les guerres mondiales, notamment la première, n'est pas la seule explication de leur extrême violence, mais certainement une des explications. Quelle est la justification principale du poilu après la guerre, au fait qu'il ait pris autant de risque pour que dalle ? "Parce qu'on m'a dit de le faire..." : comme un gosse qui va à l'école parce que sa mère l'y envoie.
Prenez les trente ou quarante mille morts dans les bombardements (inutiles) de la Normandie par les Yankis, par exemple, lors du glorieux débarquement : certes il a fallu quelques lâches crétins de sexe masculin pour actionner les leviers après avoir levé leurs bombardiers comme des jouets dans les airs ; mais combien d'heures de travail acharné, essentiellement féminin il y a derrière tout ça, à façonner amoureusement des culs d'obus. Je trouve que c'est parfaitement logique que Serge Dassault ait décidé de consacrer aux femmes un magazine spécial. C'est le moindre des tributs qu'il pouvait rendre aux gonzesses et à leur penchant pour les défilés du 14 Juillet, surtout en période de crise.