Entre la politique et l'anarchie, c'est une question de génération. Ainsi gaullistes et soixante-huitards partagent la même indigence intellectuelle. La révolution sexuelle a eu pour effet de maintenir le pouvoir politique totalitaire en l'état.
La première chose que l'écologie de Cohn-Bendit recycle, c'est l'idéologie capitaliste. La couleur verte est pour la moisissure, non pour la verdeur.
Caution scientifique des écolos-bobos, Yves Paccalet incarne toutes les contradictions de la science capitaliste, où il est question de sauver la planète pour le bénéfice des salauds qui la ravagent, et alors même qu'au sein des multiples échangeurs et autoroutes intergalactiques, la terre n'est qu'un tout petit rond-point et Paccalet une petite fleur des champs au milieu du terre-plein, pas décidée à renoncer à ce qu'on abatte des arbres pour imprimer ses jérémiades à des milliers d'exemplaires.
L'écologie invente non pas la voiture électrique mais le tout-à-l'égo.
Il est plus que temps de pratiquer le tri des idées et de flanquer au rebut toute cette anthropologie arrogante de merde !
Commentaires
Régis Debray : « Nous sommes dans le tout à l'ego », qui a condamné la culture nocive du « moi-je » au détriment de la quête des « nous » qui laisseraient chacun respirer à sa (duc de) guise.
Debray est un imbécile qui n'a pas compris que l'égotisme galopant est indissociable de la tyrannie (comme l'illustre le mythe d'Oedipe).
Un imbécile qui reprend les thèses de Maurras sans même être capable de les exposer dans un français clair et intelligible.
En ce qui me concerne, je n'en ai rien à cirer d'un Maurras politiquement correct, cette came pour les petits bobos chevènementistes qui pue le cadavre.