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Satan dans l'Eglise

La démocratie-chrétienne est le parti du compromis avec toutes les formes de barbarie moderne. On ne peut pas se contenter d'accuser le seul Benoît XVI.

Il ne faut pas craindre de dire que le nazisme, comparativement, est moins ignoble que la démocratie-chrétienne, restaurer pour cela l'histoire.

L'iniquité est la justice des hommes. Elle a tranché en défaveur du Christ, en tant qu'il était porteur d'une vérité dont aucune architecture ne peut s'accommoder. Ce que les juifs ne supportent pas dans le Christ, c'est qu'il les accuse d'être devenus des Egyptiens : des géomètres, quand l'Esprit de dieu ne se laisse pas emprisonner dans les calculs humains.

La démocratie c'est, en réalité, l'iniquité fourguée par des pharisiens au peuple comme un idéal de justice. Ce n'est pas l'amour qui est compatible avec la démocratie, ce sont les charniers et les cimetières, où règnent non seulement calme, luxe et volupté, mais la plus grande égalité.

Où les démocrates-chrétiens ont-ils été chercher l'idée de souveraineté populaire ? Ces judas l'ont inventée de toute pièce. Elle n'est nulle part dans le Nouveau Testament.

De la part des juifs qui se disent "démocrates", le souverain mépris de la Bible et de la loi de Moïse sont flagrants. Hitler a raison de dire qu'il n'y a pas moyen de fonder une république démocratique, en y incluant des juifs, à moins qu'ils ne trahissent dieu au profit de la République, divinité païenne romaine. 

Un historien montrera aisément que l'idéologie juridique de la "souveraineté populaire", bien qu'elle paraisse s'opposer à la monarchie de droit divin égyptienne, participe de la même connerie juridique. Ce n'est que le gauchissement d'une idée juridique, afin de l'adapter aux circonstances du commerce moderne, DONT LE PEUPLE EST VICTIME D'ABORD. Le slogan de la souveraineté populaire dissimule mal un peuple vulgaire et hystérique, esclave de ses désirs et manipulé par son clergé. Shakespeare, qui a beaucoup fait pour souligner l'imposture satanique de la monarchie chrétienne, est l'antidote parfait de la démocratie-chrétienne en vigueur aux Etats-Unis.

L'idéologie ordurière de la "souveraineté populaire" repose entièrement sur l'efficience de la technocratie. Le peuple doit comprendre que la souveraineté populaire ne va pas au-delà de la capacité d'une technocratie à s'organiser selon le soin de son élite. L'artifice démocratique s'explique par le besoin qu'ont les hommes, même parfaitement conditionnés, de se sentir libres. Or la démocratie ne rend certainement pas les hommes libres, mais il est facile de montrer qu'elle les abrutit, au contraire. La démocratie a ôté à l'oligarchie française le choix de sa politique. Et le quidam, lui, serait libre ? Les contes pour enfants ne sont pas aussi niais que la démocratie.

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