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Culture et fanatisme

Quand on sait la dose de fanatisme nécessaire pour faire l'art moderne et le justifier, on ne peut qu'être convaincu de la mauvaise foi de l'Occident vis-à-vis des mahométans.

L'interdit juif de représenter dieu, d'où dérive celui de l'islam, était fait pour prévenir les effets de la culture sur l'homme et sa tendance à tout s'approprier et le réduire en fétiches, y compris dieu. L'homme de culture est destiné à brûler dans l'enfer du monde : sans goût particulier pour la lâcheté et le cynisme, tenez-vous à l'écart de son sillage.


Commentaires

  • Le rejet de l'iconographie idolâtre est un devoir de chrétien. Celui qui ne s'y plie pas, préfère la société et son histoire "glorieuse". D'où la trahison des clercs se mettant au service des puissances de l'état, de l'art et, enfin, de l'argent.
    D'où la culture d'un esprit qualifié de "réactionnaire", c'est à dire nostalgique de l'ordure passée ; ou de la culture d'un sens "progressiste" de l'histoire, empli d'espérances quant aux horreurs à venir.

  • Les cultureux puent leur religion à plein nez, une véritable infection, et c'est pitié de les voir se branler comme cette hypothétique tête de bite d'Onfray sur le christianisme dont ils sont incapables, comme le souligne Mouton (avec sa cinquième patte?!), d'en piger les fondements. N'ont même pas le courage, comme le chancelant Baudelaire, d'en appeler à la pitié de Satan. Leur longue misère ne leur est connue qu'à l'article de la mort dans laquelle pourtant ils vivent depuis le triste jour de leur naissance. Il aurait mieux valu qu'ils ne fussent pas nés, comme le dit le Christ de Judas, leur porte parole, le mensonge aux lèvres et la corde sous le bras.

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