Si Samuel Johnson (1709-1784) à la suite de Shakespeare énonce que le libéralisme est l'invention de Satan, c'est pour la raison de la confusion du pouvoir et de la liberté dans les doctrines libérales. C'est-à-dire de la présentation de la liberté comme un "droit", quand bien même c'est une dangereuse illusion d'attendre d'une société, quelle qu'elle soit, antique ou moderne, l'émancipation de l'homme du péché. Le chrétien n'attend rien de la société ; l'homme tombé dans le piège libéral en attend tout.
On peut plus précisément encore de dire que le libéralisme est "la queue de Satan", car c'est cette promesse de liberté qu'il fait constamment mais ne tient jamais, d'où vient l'érosion du pouvoir et de la puissance politiques, par lesquels la souveraineté de Satan sur le monde était la mieux établie.
Dieu protège les chrétiens qui le reconnaissent comme leur seul maître, jusqu'à la fin des temps, du mouvement convulsionnaire de Satan et ses suppôts, désormais trop vaniteux pour comprendre qu'ils ne sont que des marionnettes.
Commentaires
Je suis tombé, il y a quelques temps, sur l'interview d'un producteur, n'ayant plus longtemps à vivre, confessant avoir participé à des messes noires, et assisté à des apparitions démoniaques.
Lorsque les interviewers le questionnèrent sur le pourquoi de l'allégeance de personnes de la haut société, il expliqua que le diable les persuade d'un abandon de la Terre par le Christ, échaudé par l'homme. Chose pour laquelle il n'y a pas de perplexité à avoir, sauf à ne pas se rappeler les Max Gallo et Régis Debray, cocufiés comme une adolescente, là où n'importe quel quidam verrait clair.
S'il y a bien une chose qu'il ne faille jamais sous-estimer, c'est l'orgueil grotesque des bourgeois et inféodés, l'esprit bourgeois ayant tendance à se répandre à la vitesse d'une radiation atomique, polluant à longue durée.
L'allégeance de l'industrie du cinéma à Satan est une chose parfaitement normale. Ce sont tous les autres, tous les cinéphiles qui ne rendent pas un culte à Satan qui vont flanquer la baraque en l'air.
Et même, il n'est pas certain que Adolf Hitler avait tant d'estime pour le cinéma : il s'est servi du charme du cinéma pour séduire la nation-femelle allemande, mais je crois qu'il préférait l'architecture. Tous les grands lieutenants de Satan ont l'oeil braqué sur l'Egypte.