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  • Contre les robots

    Même Barrès est obligé de l'admettre, le nationalisme est une idée bien peu française. Louant Hitler, Louis-Ferdinand Céline est incapable pourtant de parler la langue de l'expert-comptable ou de l'assureur, du compositeur de musique de chambre ou du mathématicien, aucun des idiomes nationalistes.

    Se sentir français avant de se sentir lui-même eût paru une idée d'Ostrogoth à Rabelais, qu'en ce qui me concerne je n'hésite pas à placer dans le trio de tête des bons François.

    Moi, Français depuis x-générations, ne veux pas de Napoléon, Blaise Pascal ou Marcel Proust pour compatriotes, mais je suis bien obligé de cohabiter avec ces idoles germano-pratines.

    Y'a qu'à voir la bobine de Stambouliote d'Eric Besson, qui rêve d'être calife à la place du calife, se dévoue pour embobiner le populo pour pas un rond, comme Zarkozy Ier avant lui : deux bons Aryens de plus.

  • MON JOURNAL DE GUERRE

    Tant le mauvais goût de l'abbé Mugnier est sûr (Proust, Chateaubriand, Barrès, Nitche...), je ne peux m'empêcher de le voir comme le précurseur de tout le clergé catholique actuel.

    Ce genre de boussole inversée qui indique l'Enfer n'est pas absolument inutile contrairement à un type comme Sollers qui ne se trompe pas parfois (je n'ai pas d'exemple en tête).