Dans les régimes totalitaires, la vérité prend le nom "d'information". Parce que la société ne court aucun risque d'être démasquée quand les citoyens se contentent de s'informer.
Néanmoins la société du cinéma est condamnée pour la raison qu'indique H. Arendt que, s'il est possible d'étouffer la vérité, en revanche il n'est pas possible de mettre autre chose à la place. La conscience peut-être brouillée, mais non abolie.