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luc francois

  • Kerviel parl...BIIIIIP

    Sur "France-Télévision", "JEROME KERVIEL PARLE !"... Il parle pour raconter au bon peuple des téléspectateurs des banalités sur le "métier" de "trader", qu'on aurait pu lire aussi bien dans "Le Point" ou "Télépoche".

    Les banques d'Etat vivent dans l'ignorance de ce que le plus débile croupier sait : le casino finit toujours par gagner. En l'occurrence la banque c'est le "marché mondial", non moins fantomatique que les banques, et qui distribue plus de jetons que les joueurs n'ont d'oseille dans leurs porte-monnaie (c'est ici que le métier de "trader" rejoint celui de braqueur de banque). Tel ne s'assoit à une table de poker sans prendre le risque de se faire plumer, tel est le capitalisme, engageant des vies qui ne lui appartiennent pas dans ce jeu satanique. Ce qui saute aux yeux, c'est la caution morale fournie à ce fric-frac par toutes les autorités morales internationales, et les efforts déployés par ces autorités pour détourner l'attention vers des leurres comme la choa, la raréfaction du nombre des pandas, les attentats du 11 Septembre, etc., après avoir détourné l'attention du mobile industriel et bancaire des guerres de l'ère dite "moderne", caché que les principes philosophiques qui sous-tendent le régime nazi sont plus que jamais en vigueur.

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    Kerviel cause, cause, et dès qu'il cite les noms de ceux qui l'ont aidé à perpétrer ses coups, et laisser filer le magot au bout du compte, les noms de ses supérieurs hiérarchiques : BIIIIP... Censuré ! Seuls les noms de Daniel Bouton et d'un certain Luc François, probablement déjà cité dans la presse, passent le barrage de la censure.

    Non seulement Kerviel est utilisé comme un leurre par "France-Télévision" (Il n'y a qu'un lecteur du "Point" ou du "Figaro" pour croire encore à la moralilté des règles comptables. Il y a autant de chances de ne pas voir un comptable tomber dans le faux en écritures que de ne pas voir un Etat puritain sombrer dans la pornocratie), mais par-dessus le marché on l'empêche de divulguer la plus petite information compromettante.