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Créationnisme (3)

Plongé pour échapper au mauvais goût ambiant dans la lecture du Michel-Ange d’Anthony Hugues, je me fais cette réflexion, une nouvelle fois, que le Royaume-Uni paraît plus préservé que nous des discours des trissotins.

Non, il n’y a pas chez Anthony Hugues de ces réflexions idiotes, tautologiques, anachroniques, voire carrément imbéciles qu’on retrouve chez Catherine Millet, Jean Clair, Daniel Arasse, etc., à chaque page. Anthony Hugues s’emploie simplement à cerner son sujet. Au pays de Darwin, la téléologique évolutionniste et mercantile paraît avoir fait moins de ravages que dans nos frontières.

Fustigeons en revanche l’éditeur de ce bouquin, Phaidon, français il me semble, qui n’a apparemment pas pris la peine de relire la traduction et laissé un paquet de coquilles, comme si on avait voulu faire de l’argent à bon compte.

Certes dans l’Europe future, qu’on appelle de nos vœux pour résister à la barbarie yankie (ou slave, qui sait ?), il ne faudra pas s’inspirer du modèle de la critique d’art française, ni du milieu de l’édition française.

Commentaires

  • Dans le temps les peintres et autres dessinateurs étaient réputés pour leur esprit et leurs bons mots, par exemple Degas et son ami Forain, c'est une tradition qui n'a pas dû se transmettre - encore une perdue, hélas ! comme le bon goût - car ton copain le happeur n'a visiblement aucun humour ...

    Ah ! les longues stations devant la toile qui développent et affûtent l'esprit et toute l'atmosphère farceuse des ateliers, piouf ! envolées au profit de discours psychologisants-psychanalytiquement-sociologiquement chiatiques ...

    Esprit de l'atelier es-tu là ?

  • L'esprit de Degas et Forain est exceptionnel, Driout ! Dans le cas de Forain, il est même indissociable de sa carrière. Du reste je ne suis pas sûr que mon pote H. apprécie beaucoup la peinture de ces deux-là, je parierais qu'il préfère Lautrec.

    Là où je vous donne raison, c'est que le chahut des ateliers, si violent parfois qu'il fit entraîna le renoncement de certains à la carrière de peintre (je pense au fifils à sa maman le Comte de Ségur) a fait place à la morne philosophie évolutionniste des écoles d'art contemporain où on se laisse complètement porter par le courant et par la mode. Les étudiants des Beaux-Arts de la rue Bonaparte ne méritent certes pas l'exotique décors de leur école, propice à tous les rêves audacieux (j'en rajoute un peu pour vous agacer dans le style empire empesé dudit Cormary, Driout, je sais que vous préférez le style punk minimaliste de Juldé, tendance "easy-hard reading".)

  • Non je préfère le style Julien Doré cinq ans aux Beaux-Arts de Nîmes, aficionado de Duchamp - ça c'est pour te faire bisquer - androgyne et viril à la fois qui reprend "Moi Lolita" d'Alizée et fait du second degré avec de la musiquette de Claude François ... mais tu sais il y a des précédents Serge Gainsbourg lui aussi avait fait les Beaux Arts et n'était pas le dernier pour la déconne ....

    Quant au style de Juldé c'est à voir il est encore un peu vert car ce garçon est comme la tortue de la fable il se hâte lentement ...

    Il faut toujours avoir un violon d'Ingres mon petit Lapinos d'ailleurs Ingres lui-même je crois .... c'était plutôt le style à retrousser le cotillon des dames même de sa légitime - c'est bien ce que je te reproche pas assez de cotillons soulevées chez toi !

  • Androgyne, Julien Doré ? Vous ne me faites pas bisquer, vous me faites marrer ! Il est aussi androgyne qu'un travelo mal rasé du bois de Boulogne (mon pote H., lui, est vraiment androgyne).

    Quant à Duchamp, Gainsbourg et Alizée, voire Baudelaire dans la version des annales du bac, quel ado d'aujourd'hui ne s'en réclame pas, à part Juldé ?

  • Métrosexuel ça te va mieux ?

  • http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trosexuel

    Equivalent de la figure du Dandy romantique comme représentation mythifiée.


    Est-ce que tu sépares représentation et fonction ? Ou est-ce que comme les hommes des cavernes (du Cantal) qui s'en sont pris à Jourde tu ne vois pas la différence ?

  • LA VÉRITÉ SUR LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION

    LA DÉMARCHE SCIENTIFIQUE

    1- L’observation

    Tout travail scientifique commence par des observations. On se pose la question : pourquoi ? L’observation se doit d’être la plus objective et la plus précise possible. Elle ne doit pas se laisser influencer par une possible explication, qui risquerait de la biaiser.

    La pierre angulaire de la théorie de l’évolution était la découverte de fossiles transitoires d’une espèce à une autre. Selon le propre aveu de Darwin, il n’y en avait pas. Darwin ne pouvait pas faire d’observation, il n’avait rien de concret à observer. Il espérait qu’on trouverait les fossiles. Techniquement, on a sauté l’étape de l’observation. Notez bien ceci la vraie science exige :

    «L’observation se doit d’être la plus objective et la plus précise possible. Elle ne doit pas se laisser influencer par une possible explication, qui risquerait de la biaiser. »

    Darwin est les hommes de sciences qui l’ont suivit ont t-ils été objectif ? Non L’autre exigence de la vraie science c’est la précision. On n’a pas fait d’observation mais on a quand même fabriqué de toutes pièces une théorie ! Pourtant, «Elle ne doit pas se laisser influencer par une possible explication, qui risquerait de la biaiser».

    Dans la procédure de la vraie science, on aurait commencé les démarches qu’après avoir découvert des fossiles qui démontrent ou du moins laisse croire à la transition d’une espèce à une autre. Cette observation se doit se faire avec objectivité. De plus on ne doit pas «se laisser influencer par une possible explication, qui risquerait de la biaiser.» comme l’exige la vraie démarche scientifique. Or l’histoire de cette doctrine montre à de multiples reprises qu’il suffisait souvent d’une simple découverte pour que le mot «irréfutabilité» sorte de leur bouche avec une étonnante facilité et sans le moindre scrupule !

    Donc la première étape de la démarche scientifique n’a pas eut lieu.

    2- L’expérimentation

    L’expérimentation est une catégorie particulière d’observation, dans laquelle d’une part le phénomène à observer est généralement provoqué, et d’autre part les conditions d’observations ont été optimisées en fonction de ce que l’on veut observer, notamment pour éliminer les phénomènes parasites.

    L’expérimentation à telle prouvée l’évolution des espèces ? Non.

    3- Les lois

    Lorsque les phénomènes observés font apparaître des relations invariables entre certaines grandeurs mesurées, on peut commencer à soupçonner l’existence d’une loi liant ces grandeurs entre elles. Cependant, une fois ces lois trouvées, il faut aller plus loin. Le but de la Science est de trouver des lois les plus fondamentales possibles. En effet, les lois issues de l’observation sont généralement la conséquence de phénomènes plus fondamentaux qu’il s’agit d’identifier.

    Comme il faut répondre aux deux exigences précédentes pour établir une loi, c’est donc impossible de le faire dans le cas de l’évolution. Mais notez ceci : «les phénomènes observés font apparaître des relations invariables» On ne parle pas ici de semblants de preuves ici et là. Cela doit être clairement démontré de façon invariable. Et même là encore on devrait que «soupçonner l’existence d’une loi» Il faut pousser les recherches encore plus loin avant de confirmer une loi.

    Les évolutionnistes eux commence par la fin. Il y a eut évolution puis ils cherchent les preuves et entre temps l’enseignent comme un fait.

    Notez ceci

    En science, un seul contre-exemple suffit à invalider définitivement une loi, quels qu’aient été ses succès antérieurs. Cela veut dire qu’une seule impossibilité est nécessaire pour invalider une loi. Si c’est vrai pour une loi cela devrait être vrai pour une simple théorie.

    De façon générale, il y a-t-il eut de la rigueur scientifique dans l’élaboration de la théorie de l’évolution ? Non. Jamais dans l’histoire scientifique une théorie a-t-elle été fignolée avec autant de partialité, d’imprécisions, de mal honnêteté intellectuelles, et de fabrications de preuves.

    Comme on dit certains scientifiques si ce n’étaient du rejet d’un Créateur cette théorie aurait été depuis longtemps rejetée. L’évolution doit sa survie uniquement à son côté idéologique, on garde la foi en elle coûte que coûte. Parce qu’on veut croire à l’évolution, n’ont pas parce qu’on cherche la vérité.

    LA THÉORIE DE L’ÉVOLUTION N’EST PAS SCIENTIFIQUE

    Les étapes de la méthode scientifique sont: 1) L’observation / recherche 2) l’hypothèse (fondée sur l’observation, la réponse qu’on pense obtenir) 3) la prédiction (la manière qu’on va démontrer la véracité de l’hypothèse) 4) L’expérimentation (la dernière et la plus importante des étapes. Elle se doit d’être rigoureuse, précise et objective) 5) La conclusion (basée sur les résultats, l’hypothèse est acceptée ou refusée).

    Si l’hypothèse est acceptée, des sources indépendantes devront être capables dans les mêmes conditions de la reproduire. Il devrait avoir une formule énonçant une corrélation entre des phénomènes physiques. Une théorie scientifique se base sur un ensemble de lois qui sont tous vérifiables. En science, la définition du mot théorie est bien différente de sa première définition un ensemble d’idées, de conceptions abstraites, plus ou moins organisés. Mais cette dernière s’applique très bien à l’évolution.

    Donc nous avons bien vues que la théorie de l’évolution ne répond pas aux critères de la démarche scientifique respecté par les autres branches de la science. Cette démarche était connue au temps de Darwin. Les 5 étapes n’ont pas été respectés. On a sauté des étapes. Pire:

    AU LIEU DE COMMENCER PAR DES OBSERVATIONS ET FINIR PAR UNE CONCLUSION, ON UTILISE LA CONCLUSION POUR INTERPRÉTER LES OBSERVATIONS!

    La théorie de l’évolution n’est pas scientifique.

  • - J'ajoute que Darwin ne se rallierait probablement pas aux nouvelles thèses néo-darwiniennes, qui ont moins encore l'apparence d'une science mais se présentent bien plutôt comme une véritable religion, qui profite du dilettantisme des médiats pour s'infiltrer partout ;

    - On n'a pas assez dit lorsqu'on a dit que la théorie darwinienne connaît un déficit de preuves ; on doit ajouter que le darwinisme joue dans le libéralisme un rôle de justification mystique déterminant, qui explique sa persistance. On a pu ainsi voir à la télévision de pseudo-économistes libéraux expliquer le krach économique par le phénomène de concurrence et de mutation face à des journalistes dits "de service public", incapables de rétorquer quoi que ce soit à de telles âneries malthusiennes. Autrement dit le darwinisme durera tant que le libéralisme durera. Et il va sans dire que la Chine est "évolutionniste" : elle a besoin de tels concepts frauduleux pour souder sa population autour d'un objectif de progrès darwinien.

  • C'est en raison de ce ''déficit de preuves'' qu'il y a de plus en plus contestations.

    Pour vous donnez une idée de la contestation:

    Le 24 septembre 2001, la chaîne de télévision publique américaine PBS qui est pro évolutionniste reçue un communiqué de presse qui a eut l’effet d’une douche d’eau froide. Après l’annonce d’une série télévisée sur l’évolution et des propos gratuits d’une porte parole de la station qui disait : «Tous les hommes de sciences réputés reconnaissent la théorie de Darwin». PBS reçu une pétition d’une centaine de signatures de scientifiques qui se disaient en désaccord avec la théorie de l’évolution. - Chaîne de télé, PBS. (Public Broadcoasting System, chaîne de télévision publique américaine).

    Parmi les signataires, la critique la plus virulente venait du chimiste et candidat au prix Nobel, Henry « Fritz » Schaefer, qui réprimandait les darwinistes pour « avoir adopté des types de preuves en faveur de l’évolution qu’ils n’auraient jamais acceptés en tant que scientifiques dans d’autres circonstances. »

    http://www.reviewevolution.com/pres...

    « Face à une improbabilité aussi éclatante, comment un scientifique possédant un soupçon d’honnêteté peut-il attribuer à des interactions aléatoires la complexité que nous observons dans les systèmes du vivant? Agir ainsi, alors que l’on a parfaitement connaissance des chiffres, est à mon sens une violation grave de l’honnêteté scientifique. » John Baumgardner géophysicien.

    Biens d’autres scientifiques n’appuient pas la théorie de l’Évolution :

    Un professeur, de biologie, de chimie et de physique du nom de Jerry Bergman a établit de son côté une liste partielle d’hommes de sciences qui ne soutiennent pas la théorie de l’évolution. Cette liste contient plus de 3,000 noms. Plusieurs autres ont refusés d’y être de peur de nuire à leur carrière.

    http://www.rae.org/darwinskeptics.h...

    Autre liste de scientifique dissidents celle-ci de 700

    http://www.dissentfromdarwin.org

  • - Merci pour ces liens. Mais l'accumulation de preuves contre une science ou une religion n'a jamais été suffisante pour éradiquer celle-ci. J'en veux pour preuve qu'il n'a même pas été possible récemment sur un plateau de télé français à un historien d'exprimer cette simple évidence que la physiocratie de Darwin a été utilisée par le régime nazi. La sociologue Sylviane Agacinski l'a immédiatement fait taire. Vous comprenez bien ce qu'il y a de gênant pour les élites parisiennes libérales à ce qu'on laisse entendre qu'elles perpétuent d'une certaine façon la science nazie polytechnique et sociologique (que les nazis n'ont pas inventée, mais "perfectionnée" largement).

    La science n'est jamais conforme au consensus politique. C'est toute l'hypocrisie d'un scientifique comme Claude Allègre par exemple, de critiquer le principe du consensus, tout en prônant une polytechnique capitaliste extrêmement consensuelle, pour ne pas dire inculquée aux gosses dès le plus jeune âge.
    Je crois bien sûr qu'il faut lutter contre le darwinisme qui est un instrument d'oppression terrible (à l'aide d'arguments darwiniens l'Afrique est en train d'être mise à sac aujourd'hui, engagée comme la France l'a été par le pouvoir gaulliste dans la voie de l'agriculture chimique, qui n'est pas la moindre des causes de la gigantesque banqueroute actuelle) ; mais on ne peut se contenter de ce seul combat, sans quoi il est perdu d'avance. Les grands nombres sont du côté des évolutionnistes depuis le début, et ils le resteront.

  • j'ai un pote qui m'a sorti ce matin a propos, l'évolutionnisme: c'est bon quand t'es jeune fort et con!

  • À Lapinos,

    Hittler, Staline ou encore Mao Tse Tung par exemple ce sont bien servis de la survie du mieux adapté c’est un fait. En qualifiant certain peuples de sous espèces, inférieur on a pu justifier des génocides. Mais pour être juste, les croisades, inquisitions et guerres de religions en ont fait tout autant. Je pense qu’il aurait été périlleux de débattre sur ce sujet. De dangereux dérapages auraient pu arrivés. Personnellement je pense qu’on devrait s’en tenir aux sujets scientifiques.

    Ceci étant dit, il est évidant que les médias ne sont pas objectifs. En général on tient le public dans l’ignorance sur les faiblesses et faussetés de cette pseudo science.

    À Folio,

    Il faut comprendre que le public à été conditionné à penser évolution. La majorité ont été endoctriné de force à l'école.

  • Veuillez noter ce que Fodio a écrit juste au-dessus, car c'est le coeur du problème, et l'observation permet en outre de faire le lien avec le mélange hasardeux de théologie et de principes politiques dénoncé avec force en son temps par le grand François Bacon.

    Darwin est issu comme Hitler ou Nitche d'une culture dans laquelle l'Etat et la politique ont été divinisés (le christianisme gothique puis baroque n'y est bien sûr pas pour rien, puisque le modèle politique ecclésiastique a été directement transposé de l'Eglise romaine aux différentes nations européennes, à commencer par l'Angleterre jusqu'à l'Allemagne).

    Je reviens à la citation de Fodio qui souligne ce qui oppose la culture romaine ou nazie à la pensée grecque restaurée et christianisée par Bacon. Pour les Romains, la politique est un idéal. Pour les meilleurs savants grecs matérialistes, elle n'est qu'un stade animal. Bacon a lutté ainsi de toutes ses forces contre les péripatéticiens qui tordaient Aristote pour le soumettre à leur satanique idée de "politique chrétienne" (qui n'est autre que l'ancêtre du socialisme" (Il faut vous mettre dans l'esprit que pour un chrétien comme Bacon, fin connaisseur des Saintes Ecritures et des différentes religions païennes, la condamnation par Jésus du rêve politique est un élément essentiel.
    Jeunes, forts et cons comme des animaux sont les gosses, surtout lorsqu'ils sont encouragés dans leurs instincts par la propagande libérale (prostitution pour vendre, automobile, football pour tous et toutes, cinéma, etc.), et donc portés à croire à une évolution fonctionnelle et mathématique -automatique- de leur organisme, à transposer cette idée d'évolution au corps social tout entier. Les lettres de Darwin à sa femme sont d'ailleurs d'un bovarysme affligeant : on les dirait du pharmacien Homais !

    Il aurait fallu cinq minutes à un esprit rompu à la science comme Bacon pour comprendre que la thèse de Lamarck était vouée à devenir un principe hasardeux, une idée du destin "à la Romaine" forcément paradoxale et se mordant la queue, aboutissant par exemple à l'idée qu'un primate évolue plus vite qu'un être humain libre et marxiste (par ex.).
    - Le problème de vos "preuves biologiques contre preuves biologiques", Michel, c'est qu'elles vous entraînent précisément au niveau de Lamarck ou Darwin qui a causé leur erreur. La segmentation de la science (Biologie/Physique/Géographie) est un indice de sa mise sous tutelle par les institutions politiques. Jamais un savant matérialiste n'a commis une telle bourde de raisonner uniquement en biologiste ou physiocrate qui est le tort principal de Lamarck ou Descartes. Notez que les prétendues observations de Lamarck ou Darwin (très limitées en réalité) peuvent superficiellement être comparées à celles d'Aristote qu'elles imitent vaguement, comme le nazisme a imité vaguement le classicisme ; pourtant Aristote aurait récusé les statistiques sur lesquelles Darwin se fonde, qui ne tiennent compte que d'une seule cause du mouvement, la plus secondaire, et à laquelle il n'est pas question qu'un savant sérieux joigne une idée de progrès (le progrès trigonométrique symbolisé par la svastika n'a rien de grec ou de matérialiste : Aristote a fustigé la secte pythagoricienne égyptomaniaque tant qu'il a pu. Même imposture de la part de Galilée, qui ne pouvait guère espérer impressionner que quelques cardinaux romains imbéciles (statique parfaite de ce point de vue depuis la Renaissance) avec ses syllogismes abracadabrantesques.
    Voyez que je ne suis nullement "corporatiste", car dans le domaine de la connerie scientifique, le clergé romain a donné la note et la mesure, là encore, tel ce cardinal Barbarin simplet (Urbain VIII plus tard) qui a encouragé Galilée, puis (à moitié) lâché ensuite. Galilée qui en est encore à la fin du XVIe siècle (!), plus de trois siècles après Dante, à bricoler des théories sur le purgatoire et l'enfer, sans compter sa thèse des océans qui dérapent à la surface du globe.

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