L'intention du pape de faire passer des tests psychologiques aux séminaristes fait penser à ces parents qui emmènent leur gosse chez le psychiatre pour mieux dissimuler que c'est eux-mêmes qui sont toqués.
Le charlatanisme de Freud est pourtant plus frappant encore que celui de Darwin. Le déterminisme de Darwin est totalement artificiel, mais encore faut-il connaître un peu la physique et Darwin pour s'en rendre compte. Ainsi j'ai connu un brave type qui cautionnait Darwin par distraction, et des collégiens faisant aveuglément confiance à leurs profs ; mais l'ésotérique science bourgeoise de Freud, elle, déborde d'insanités. Que Freud commente la mythologie grecque, la peinture de la Renaissance ou le théâtre de Shakespeare, son propos a de quoi faire sourire ou grimacer quiconque a une connaissance même limitée de la mythologie grecque, la Renaissance ou Shakespeare. De fait Freud était prédestiné à épater Hollywood avec ses salades.
F. n'a fait qu'inventer la morale des fonctionnaires de l'Etat laïc totalitaire : 'Responsable mais pas coupable'. Aussi peut-on dire qu'il n'y a pas d''inconscient', il n'y a que du secret bancaire. Et ce n'est pas hélas parce que les grandes bourgoises qui fréquentent les psychanalystes n'ont rien à dire qu'elles n'exigent pas d'être écoutées.
Si l'Eglise croit se dédouaner de sa très grande lâcheté en sacrifiant à son tour à la sorcellerie mondaine de Freud...
Commentaires
Les tests psychos et autres crétineries pseudos-logiques, sont la panacée du bon cadre soucieux de se couvrir, au cas où il aurait misé sur le mauvais cheval. Formalisez, encore et toujours. Le plus amusant réside dans le fait que les "consultants" confessent qu'il ne s'agit que d'un charlatanisme scienteux, propre aux exigences du "client". Dans une secte, pour trouver le sain d'esprit, cherchez le gourou.
Un salaud peut s'amender ; un irresponsable ne le peut pas. De là vient le terrorisme des Etats capitalistes.
L'ingénieur Walras, prix Nobel d'économie pour avoir eu l'idée saugrenue de faire de la prospective économique en se basant sur les lois de la thermodynamique (!) devait sûrement avoir un énorme QI. Je crains que si on devait passer au crible la liste des prix Nobel en science on ne trouverait pas un seul type intelligent. Je voudrais les dégommer un par un sur mon blogue que je ne saurais pas par lequel commencer. C'est la foire aux abrutis polytechniciens.
Prenons plutôt le moins con : Bertrand Russell. Son mérite, occulté, consiste après une longue carrière de savant officiel à s'être rendu compte que la science pythagoricienne était complètement archaïque et ésotérique. Esotérique dans la mesure où, parlant l'algèbre, le polytechnicien ne sait pas quelle langue il parle, d'où elle vient, comme un boulanger qui ne saurait pas que sa farine vient de la meule et du blé, comme un robot qui ignore qui l'a programmé.
La société viennoise avait tellement enfoui le sexe et la science sous les corsets et les conventions que lorsque Freud a découvert sa bite, il a cru avoir découvert l'origine du monde. Et l'ingéniérie capitaliste, au service des cartels de l'armement et de la pétrochimie, n'a aucun intérêt à faire table rase de ces niaiseries, Freud ou Einstein.
Prix Nobel d'économie institué en 1968. Walras mort en 1910.
Quant au QI, c'est une superstition laïque de plus, Lapinos. Vous devriez le savoir.
Exact, je me suis empêtré dans le calendrier. Léon Walras n'est qu'un prototype ; j'aurais mieux fait de citer dans la galerie des débiles profonds nobélisés : John Nash, John Harsanyi, Milton Friedman ou James Tobin, hypocrite conseiller du président terroriste John Kennedy, dont la science consiste 'grosso merdo' à se dire : 'Tiens, pourquoi ne pas fonder la prospective économique sur le Black Jack ou la roulette ?' Ce qui est assez rationnel puisque la 'prospective' économique est une arnaque incarnée avec le sérieux qui convient par Jacques Attali ou Nicolas Baverez.
Voilà pour quelques exemples parmi d'autres en économie. En physique, Robert Laughlin, prix Nobel 1998, offre un bel exemple de médiocrité élevée au grade du génie. Petit extrait :
'(...) Visualisé par un microscope, un grain de pop-corn ressemble beaucoup à la structure d'un amas de galaxies et de matière noire. J'ai demandé à Linde d'écrire les équations qui prédiraient la structure du pop-corn puis de les résoudre. Cela est impossible ! J'ai été confronté à ce type de problème lorsque je travaillais au laboratoire Lawrence Livermore, spécialisé dans l'armement (...)' (In : 'La Recherche', février 2007, revue de propagande destinée à faire croire que les chercheurs du CNRS sont autre chose que des crétins bouffeurs de pop-corn.'
Et n'hésitez pas à me corriger encore, Mamz'elle.
Il y a loin de vagues et toujours vains tests psychologiques à la psychanalyse comme il y a loin de la psychanalyse à la psychiatrie.
Je pense que cette dernière qui est une des disciplines de la médecine peut sans aucun doute être qualifiée de science.
Les deux autres... Je n'en sais rien et je m'en fous.
Le vrai problème de Freud, c'est qu'il a eu des disciples crétins comme leurs pieds voire leurs chaussettes. C'est un peu aussi la couronne d'épines de Marx, d'ailleurs...
Le crédit accordé aux tests de QI aujourd'hui, qui ne garantissent rien d'autre que la débilité mentale et la particulière incapacité de ceux qui s'y soumettent à penser par eux-mêmes, vient bien sûr du charlatanisme freudien.
Il n'y a rien d'étonnant à ce que la racaille démocrate-chrétienne défende Freud, puisqu'on retrouve chez saint Augustin lui-même cette trinité binaire 'Mémoire, intellection, volonté', d'où les épais spéculateurs germaniques et slaves tirent leur éthique laïque. Mon éducation française m'a préparé, je vous le répète, à dégueuler ce puritanisme judéo-chrétien dont Marx démontre en outre qu'il est parfaitement ésotérique. Que Freud ou Nitche aient eu les couilles ligaturées par leur mère et que ça les ai rendus mélancoliques ne me surprend pas. Freud et Nitche peuvent bien se branler tant qu'ils veulent pour conserver l'estime de leur mère, je m'en tamponne, mais ce qui me dérange ce sont leurs bobards sur la Renaissance, la mythologie grecque ou Shakespeare.
On pourrait croire que la 'neuroscience' est moins vague, mais elle s'appuie en réalité sur les mêmes schémas. Les pseudo-expériences à l'aide d'IRM sont gouvernées par des hypothèses très freudiennes. Il y a d'ailleurs très peu de neuroscientifiques qui perçoivent l'ineptie de Freud et son conditionnement. Si cet abruti de Freud avait lu Shakespeare correctement il saurait comme Marx qu'il n'y a d'inconscient que ce que la bourgeoisie puritaine préfère ignorer de ses petits trafics et manipulations souterraines. Je répète que Freud n'a fait qu'inventer le 'Responsable mais pas coupable', éthique commune aux fonctionnaires laïcs et aux escrocs capitalistes, ce que Marx qui ne confond pas Hamlet avec un drame bourgeois sait parfaitement.
Marx et Engels ont vu un peu trop de choses clairement, alors on préfère, à commencer par des communistes ineptes comme Derrida ou Balibar, les mettre entre parenthèses : voilà pour la part d''inconscient collectif'.
Sans vouloir faire du genre, Pierre Teilhard de Chardin a aussi utilisé le concept d'entropie issu de la deuxième loi de thermodynamique...
La supraconductivité aurait dû éclairer Teilhard de Chardin sur les fameuses lois de la 'thermodynamique'. Autrement dit il aurait mieux fait de lire Dante plutôt que les idioties de Darwin.
Maintenant il faut bien voir que c'est déjà le cas avec Voltaire, qui fait un effort pour promouvoir la science mais n'est pas capable de discerner la légèreté scientifique de Newton. Pas plus que Maupertuis et la dame du Châtelet auxquels il s'était fié, dont il aurait dû se défier pour écouter plutôt d'Alembert, moins prompt à avaliser cette histoire d'attraction qui sent l'arnaque à plein nez.
C'est indéboulonnable.
Même moi - c'est juste un modeste exemple -, qui ai fait le tour de la planète en avion, je dois rester concentré sur le fait que toutes les halluccinations dont j'ai été victime à propos de courbures apparues en haut, en bas, à gauche et à droite, sont dues à la quantité de champagne ingurgitée à bord et non à une théorie fallacieuse affirmant que la Terre ne serait pas plate.
La théorie du monde plat est défendue par les frères Bogdanoff sur les chaînes du service public devant des plateaux de crétins pythagoriciens médusés qui ne savent pas trop quoi en penser.
(Quand je dis 'pythagoriciens', il faut bien sûr considérer l'énorme fossé entre Pythagore et les abrutis qui aujourd"hui se réclament de lui.)
Feriez mieux de garder votre humour de stewart pour draguer des hôtesses de l'air.