L'écrivain de sexe féminin se soucie du style, l'écrivain de sexe masculin se soucie de sincérité, et l'écrivain asexué se soucie de science.
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L'écrivain de sexe féminin se soucie du style, l'écrivain de sexe masculin se soucie de sincérité, et l'écrivain asexué se soucie de science.
Commentaires
"Si ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe le" disait Jésus. Peut-être une manière détournée de préconiser le coupage de verge... parce-ce qu'un pied, bon...
Que celui qui, dans la force de l'âge, n'a pas ce membre comme étant la première cause de pêcher, me jette la première pierre...
M'étonnerait pas que Fodio essaie de s'en tirer en disant qu'il s'en sert juste pour aider sa compagne... héhéhé
Les fourmis aussi sont asexuées, n'écrivent pas et ne se soucient guère il est vrai que de science politique appliquée.
Tu dois lire la Bible d'une main, Weuguy, en pêchant à la ligne... écrivain, serais plutôt de sexe masculin vu mon manque de style et mes longueurs. M'arrive même de "bousculer" Pénélope pour ne pas la soûler avec mon interminable sincérité.
C'est ce que je pensais... les pierres aiguisées au style sont lancées. Et si je lis la bible d'une main, c'est d'ailleurs pour mieux les saisir au vole, on est pas à l'abri de s'en prendre une ou deux dans les couilles quand on interprète les évangiles en te "bousculant".
Plus sérieusement, je reconnais que ma verge agît comme une barrière quasi infranchissable quant à la nécessité d'être scientifique en écrivant. Ta comparaison avec les fourmis est bonne dans la mesure où ce ne sont que les ouvrières, les véritables travailleuses quoi, qui sont asexuées.
Je n'ai pas dit que la science est contre le sexe, mais qu'elle en est indépendante, comme l'amour.
Il n'y a que les cocus qui croient que l'amour et la sexualité vont ensemble, comme si un rapport de force pouvait contenir l'amour ; de même il y a des cocus de la science, et ce sont ceux qui confondent le progrès technique pour la science.
Moi non plus je ne suggérais pas que la science soit contre le sexe, mais plutôt que ce dernier est un redoutable dictateur pour l'individu mâle, après, possible que ça ne concerne pas tous les hommes. En revanche, la remarque concernant l'absence de rapport entre la sexualité et l'amour m'est la bienvenue en ce moment. Et si un rapport de force ne peut contenir l'amour, c'est bien parce-qu'il l'empêche de passer. Mais alors qu'attend t-il l'amour, pour faire valdinguer ces rapports de force qui façonnent la civilisation ?!
Je comprends ton impatience, Jeannot ; moi-même, parfois... Mais plus on se bat, et mieux on se bat, et plus le temps passe vite.