Relativement au sionisme, dont le chef de l'Etat israélien a fait pour le besoin de sa guerre contre le "terrorisme" une sorte de cri de ralliement de l'Occident, relayé par de nombreux publicistes, la France se situe dans une position intermédiaire entre l'Allemagne, sioniste à 110%, et l'Espagne dont le chef de l'Etat vient officiellement de répudier le sionisme.
La force du sionisme réside en France principalement dans le clergé médiatique et son pouvoir d'excommunier quiconque ose publiquement s'opposer à la politique du Pacte atlantique, dont Israël est la tête de pont au Moyen-Orient.