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nobel

  • L'Europe négationniste

    C'est le sacre de Napoléon par lui-même que l'auto-satisfecit des technocrates européens, se remettant le prix Nobel, rappelle. Sans doute Napoléon était-il plus conscient de la portée anthropologique de son geste ; moins irresponsable, bien que, déjà, massivement meurtrier.

    La seule paix dont la technocratie européenne peut se prévaloir, c'est celle qui règne après les grands massacres humains : la paix des cimetières. De tels discours, propres aux benêts, sont faits pour entretenir l'espoir ; la politique se situe désormais au niveau du pantomime.

    Ne vous y fiez pas : Anders Breivik est l'Européen véritable de la fin des temps, le fils de l'Europe prédatrice et sournoise.

  • L'hypocrisie Nuremberg

    Evidemment les industriels français ou allemands sont passés presque tous "à travers" le procès de Nuremberg, dont le principal effet a été de blanchir à bon compte le monde industriel.

    Mais c'est sans doute lorsqu'on examine la liste des prix Nobel de Physique et de Chimie que la continuité entre le régime nazi et l'idéologie yankie est la plus flagrante.

    Le plus cocasse, c'est que le plus nazi des Nobel, Fritz Haber, prix Nobel de Chimie en 1918, est l'inventeur d'un "grisoumètre" destiné à détecter les coups de grisou dans les mines de charbon et préserver autant que possible des vies de mineurs. Il entre sans doute assez peu de philantropie là-dedans, mais lorsqu'on sait les applications qui ont été tirées des recherches de Pierre et Marie Curie ou des ingénieurs français Potez ou Dassault ultérieurement, il n'est pas interdit de faire des comparaisons et de voir dans le régime gaulliste un pastiche du régime nazi. Je ne suis pas un anti-américain primaire.

  • Twin Towers

    Il faut voir tous ces profs d'économie à Paris-Dauphine ou Sciences-po., les énarques libéraux, la légion des fonctionnaires du capitalisme sortir des bureaux ou des salles de cours aseptisés, et envahir les plateaux de télé pour tenter de minimiser la faillite, leur faillite.

    Car la faillite financière est bien sûr secondaire. Au premier chef, c'est une faillite intellectuelle : la chute des cours boursiers entraîne avec elle une quinzaine de prix Nobel d'économie. Non seulement Milton Friedman, mais aussi John Harsanyi, Thomas Schelling, etc., autant de dangereux cinglés nobélisés par les augustes crétins de Stockholm. Le pire d'entre ces prix Nobel est sans doute John Nash, issu de la pépinière de tarés de Princeton, récompensé pour avoir eu l'idée d'appliquer à l'économie les lois du poker.

    A côté de ces criminels de guerre économique, notre cartomancienne nationale Jacques Attali, une carte "plus" dans la manche gauche, une carte "moins" dans la manche droite, peut presque passer pour un véritable savant.