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Le lit du capitalisme

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En réalité, quand on est vraiment marxiste, honnêtement on ne peut pas se permettre de dissocier l'idéal démocratique du capitalisme bourgeois.
Un minimum d'esprit scientifique suffit pour faire le constat que les idées démocratiques ont fait le lit du capitalisme. Pour être plus marxiste, donc plus précis, il faut que je tourne ma phrase à l'envers, car c'est le capitalisme bourgeois qui a fait le lit de l'idéologie démocratique.

Démocratie et capitalisme coïncident harmonieusement pour la plus grande fortune des capitaines d'industrie. Les États-Unis d'Amérique sont l'exemple contemporain le plus flagrant d'avènement de la société marchande en même temps que des fameux slogans d'égalité, de liberté, de suffrage universel, de droit international, de paix universelle, etc.
De nombreux autres exemples, capitalistes ou non, permettent d'ailleurs de vérifier que plus un pays bafoue la liberté, l'égalité, le droit de vote, la justice, plus ses représentants truffent leurs discours de ces slogans.
Sur un autre plan, le protectionnisme étatsunien, le plus puissant du monde, aime à se parer du joli nom de "libre-échangisme". Et la France, ou l'Europe, qui n'est pas si protectionniste que ça, abhorre cette idée-là.
Les intellectuels anglo-saxons au service des marchands ont forgé un autre joli nom, le "libéralisme", à l'usage de leurs maîtres. En quelque sorte l'expression de libéralisme englobe le système ET l'idéologie, en insistant surtout sur l'emballage. Mais parler d'une forme évoluée, globale, de mercantilisme, est plus exact.

Si Voltaire revenait, il serait sans doute horrifié par les effets du libéralisme anglais qu'il admirait tant mais dont il ne pouvait estimer toutes les conséquences, sur les arts et les lettres. La peinture, la poésie, la musique, qui en son temps étaient encore au sommet de l'activité humaine, au-dessus de l'artisanat, ont été reléguées au rang de vulgaires artifices, quasi des arguments commerciaux.
Quel usage des individus transformés en consommateurs pourraient bien faire d'une conscience ? À quoi bon enseigner à un futur vendeur de téléphone portable le latin ou le grec ?

Et quel déficit de la pensée chez Finkielkraut lorsqu'on le compare à Diderot ! Derrière les jeux de mots de Diderot, on sent un esprit subtil, critique, facétieux. Tandis que chez Finkielkraut, rien, aucun recul, juste un vague cercle d'idées, accompagné d'un vague geste circulaire de la main, même pas une rhétorique stable ! Il est ce qu'il dit, Finkielkraut, il se confond complètement avec sa subjectivité. J'aime citer Finkielkraut parce c'est l'exemple le plus caricatural que je connaisse, en attendant d'en trouver un autre. Même Christine Clerc, assise à côté de lui l'autre jour sur un plateau de télé ne pouvait s'empêcher de le trouver bête et d'avoir pitié. Même Christine Clerc !

Si on veut bien se pencher sur Marx sans préjugés idéologiques, de droite ou de gauche, plus radicalement encore que Burke, on constate que Marx démonte les contes philosophiques dont on nous rebat les oreilles dans notre démocratie prématurément vieillie.
Certains catholiques reprochent à Marx d'être athée. La belle affaire ! Encore un raisonnement très subjectif. Doit-on se préoccuper de savoir de quelle religion est le jardinier qui a planté l'arbre dont on prélève une poire pour se désaltérer ?

Commentaires

  • Non, mais on peut ne pas prélever la poire pourrie.

    C'est intéressant comme image, non ? On sent que la pensée grimpe l'himalaya sur ce blog...

  • J'étais sûr que mon image choquerait les esprits les plus démocratiques.

  • Hmm, pas du tout démocratique Gogol.

  • Je vois que même quand vous n'avez rien à dire sur un sujet de messieurs, vous la ramenez quand même, citoyenne Pimpeleu.

    Alors Jarry, Allais, Proust… ou Gogol ?

  • C'est que je ne voudrais pas que vous vous ennuyassiez de moi camarade Lapinos.

    (Bukowski mais pas encore commencé)

  • Pfffiuuu, quelle audace, Lapinos : comparer Finkielkraut et Diderot... Pour ce faire, vous avez sûrement eu tout loisir de constater la gestuelle et les tics de langage de Diderot, lorsqu'il s'exprimait à la télévision, entouré d'incultes. Et puis, le fait que Christine Clerc l'ait trouvé bête est un argument imparable.

  • Si tu voulais m'épater avec ton aristocratique maîtrise de l'imparfait du subjonctif, c'est réussi, Pim, mais je doute que dans le journalisme cette faculté te soit très utile.

    Il faut être un enfant de la télé pour croire, Paratext, que parce qu'il ne passait pas tous les semaines à l'écran comme Finkielkraut, on ignore tout de Diderot. Sa volubilité, sa gourmandise, sa vivacité d'esprit, sa gaieté, son ardeur au travail, bref tout le contraire de Rousseau, sont légendaires !

    D'ailleurs il se trouve qu'avant d'être aussi accaparé par le service public et l'édification des masses citoyennes, Finkielkraut a eu le temps d'écrire quelques ouvrages compromettants pour sa capacité à se hisser au niveau d'un raisonnement binaire. Ne soyez pas impatient, je vous promets pour bientôt un florilège de ces bons mots involontaires les plus comiques. Rire aux dépends des puissants de ce monde est un privilège de plus en plus réduit. Profitons-en de peur d'en être privé tantôt.

  • "quelques ouvrages compromettants pour sa capacité à se hisser au niveau d'un raisonnement binaire"...

    J'espère très sincèrement vous voir prochainement proposer une critique de "La défaite de la pensée", de "L'ingratitude", du "Mécontemporain", de "L'imparfait du présent".
    Et si le Finkielkraut télévisuel vous insupporte tant par son univocité, son déficit de pensée, éteignez donc votre tévé et jetez une oreille à son émission radiophonique Répliques.

    Finkielkraut, un puissant de ce monde... vous êtes confondant de... mauvaise foi, j'espère.

  • Lapin, vous comparez Finkielkraut à Diderot. Comparaison n'est pas raison ici, mais enfin... Je croyais surtout que vous aimiez Diderot. Pardonnez-moi, mais je m'y perds un peu avec vous.

  • C'est dans le Journal de Finkielkraut que je devrais trouver les meilleurs gags, plutôt que dans ses cours de philo. à l'usage des petits étudiants sérieux de l'UMP.

  • Le Journal ? Quel "Journal" ?

    Que vous vous basiez sur l'image que donne de lui AF à la tévé pour décider de ne le point lire, libre à vous, mais ne faites pas comme si vous pouviez juger de l'oeuvre.

    Et enfin, puissiez-vous apprécier Diderot sans avoir besoin de cette béquille aussi peu commode qu'indigne de vous qu'est l'approximation à visée sophistique.

  • Il s'agit de "l'Imparfait du présent" ?

  • Alors je suis impatient, effectivement, de vous lire y souligner les meilleurs gags...

  • J'ai oublié le titre, ça devait être un calembour philosophique, mais ne vous inquiétez pas je vais le retrouver.

    Grattez un peu et vous verrez que Finkielkraut a épousé toutes les modes médiatiques : le socialisme, l'humanitarisme, l'antiracisme, et maintenant l'américanisme et le sarkozysme. Mais avec la bonne foi et la lucidité qui vous caractérisent, Paratext, vous allez peut-être me dire que Sarkozy n'est pas à la mode ?

    On a beaucoup exagéré le courage de Diderot, mais ce n'était certes pas un larbin, un carriériste, et "Jacques le Fataliste", ça reste lisible.

  • Alain Finkielkraut sarkozyste ? Ah bon ? Va falloir m'expliquer, là...
    Il serait plutôt Péguyste ! Très à la mode, ça, Péguy.
    Ou bien Renaudcamusien, très à la mode aussi, Renaud Camus !

  • Ah, non, si vous ne savez pas que Finkielkraut est sarkozyste, je ne peux rien vous expliquer de plus, Paratext ; je peux quand même traduire si vous voulez ce que veut dire "sarkozyste" : APRÈS Mendès-France (Finkielkraut a tellement peur qu'on dise qu'il est "de droite", ça reste encore assez mal vu dans le milieu des profs de philo.), le candidat préféré de Finkielkraut aux prochaines élections, c'est Sarko. D'où le compliment du maître à son valet : "Alain Finkielkraut fait honneur à l’intelligence française."

    Dans le système oligarchique qui tend vers le bipartisme où nous sommes, Paratext - "la démocratie" c'est bon pour les gogos qui somnolent devant la télé -, dans ce système bipartite il est évident que les sarkozystes peuvent s'attendre à essuyer quelques critiques de la part des royalistes, et vice-versa, mais ça ne fait pas de Finkielkraut un dissident pour autant, un type qui se fait casser la gueule quand il met le pied sur un plateau de télé, par exemple.

  • "Philosophe de sénilité publique".

  • @Lapinos: Le mécontemporain?

  • Non, je ne le savais pas. Ce que je voulais dire, c'est : d'où tenez-vous cette information ?
    Que Sarkozy vole à la rescousse de Finkielkraut après cette interview-piège à Haaretz (qui d'autre l'a fait ?) et en déduire que Sarko aime bien les propos de Finkie est une chose ; en déduire que celui-ci votera pour celui-là, n'est-ce pas captieux ?

  • XP : le mécontemporain est un texte sur Charles Péguy.
    Ce que l'on peut le plus assimiler à un journal est L'imparfait du présent.
    J'attends les "gags".

  • Captieux ? Nenni ! Pas plus que de dire que "Le Monde" a tourné sa veste idéologique il y a deux ans pour miser tous ses jetons sur Sarko. Dans "Le Monde" du 6 juillet 2004, tout d'un coup un article sur le "racisme antifrançais" dans les banlieues. Jusque-là, la ligne du "Monde" était que cette expression était une expression fachiste, digne des heures les plus sombres de notre histoire. Et, du jour au lendemain, "Le Monde" reprend ce slogan à son compte !? Ne me dites pas que c'est parce qu'ils ont changé d'avis, Paratext, ne m'obligez pas à être sarcastique.

    Je vous accorde que ni Finkielkraut, ni Colombani ne sont très à l'aise dans leurs nouveaux costards de militants de l'UMP, mais enfin comme le jeu en vaut la chandelle ils se prêtent au déguisement.

    Ah, et puis comme il se pourrait, tout le laisse prévoir, que la cote de Sarkozy s'effondre brutalement, je ne serais pas plus étonné que ça si les médias, Finkielkraut en tête, le laissaient tomber tout-à-coup comme une vieille chaussette, exactement comme ils ont laissé tomber Balladur. Il se pourrait qu'on soit privé de Finkielkraut et de ses sketches réguliers à la télé d'ici quelques mois.

    (Pour le florilège vous devrez attendre un peu car il y a comme une agitation étrange en ce moment autour des librairies qui m'oblige à me tenir à l'écart. Vous n'imaginez quand même pas que j'ai de la place pour ça dans ma bibliothèque ?)

  • Bon, vous avez décidé de voir en la récupération de Finkie par Sarko un serment d'allégeance du premier au deuxième. Soit.
    J'ai comme l'impression que vous tordez régulièrement le cou de la réalité afin d'en obtenir le suc falsifié de vos ratiocinations. Je crois me souvenir vous avoir lu, je ne sais plus où, reprocher à Fromageplus son idéologisme : je me gausse.
    C'est peut-être ça, finalement, qu'on aime bien chez vous.
    Bien à vous.

  • Ce qu'on peut reprocher à Finkielkraut, c'est d'être un réac non assumé. Il dit ne plus se reconnaître dans le progressisme, voire dans une modernité qui bazarde la tradition et la transmission. Comment peut-il donc, de bonne foi, se dire encore de gauche ? Car il le dit, ou le laisse entendre, notamment dans son émission Répliques.

    Au demeurant, Finkielkraut n'est pas un si mauvais bougre ; il en est de plus mauvais dans la génération de 68. Certains de ses livres, d'un style un peu forcé, mais assez inspiré, méritent même le détour au contraire de ceux de ses confrères "philosophes".

    Vous semblez avoir un peu de mal avec Paratext, lapin. Vous ne semblez pas à votre aise à évoquer le Finkielkraut des livres et non seulement celui de la télévision. Je vous aurais bien sauvé pour partie, si Paratext ne l'avait fait lui-même, en faisant remarquer que L'imparfait du présent de Finkielkraut est une manière de journal.

    En revanche, je ne crois pas Finkielkraut très sarkozyste. Je peux me tromper évidemment, et peu importe qu'il le soit ou non d'ailleurs, mais je crains, lapin, que vous ne fassiez fausse route... Quant à dire que Colombani et Le Monde roulent pour l'UMP, hum... Vous lisez Le Monde de temps en temps ?

  • T'as tout mon soutien mon lapinos, Finkie est un petit slip comme disait l'autre !

  • Le Uhlan : "Il dit ne plus se reconnaître dans le progressisme, voire dans une modernité qui bazarde la tradition et la transmission. Comment peut-il donc, de bonne foi, se dire encore de gauche ?"

    Jetez donc un oeil aux écrits politiques de George Orwell, ou bien à ceux, consacrés à lui, de Jean-Claude Michéa (Orwell éducateur, et Orwell, anarchiste tory)
    On peut tout à fait avoir une sensibilité de gauche et être attaché à la tradition et à la transmission.

    "Vous ne semblez pas à votre aise à évoquer le Finkielkraut des livres"
    Et pour cause...

  • On peut être attaché à la tradition et avoir une sensibilité de gauche, certes oui. Seulement, Finkielkraut va beaucoup plus loin qu'Orwell dans l'attachement à la tradition. Plus exactement, il va dans une direction différente de celle d'Orwell en s'attaquant très profondément à la modernité, et en s'appuyant pour cela sur des auteurs modernes très critiques envers le progressisme (Arendt et Levinas) voire radicalement antimodernes (Heidegger).

    Personnellement, cela ne me gêne pas du tout. Mais il arrive un moment où il faut assumer ses choix philosophiques jusque dans leurs conséquences politiques. Il y a des fidélités voire des conventions de langage qu'il faut savoir abandonner. Pour dire le vrai, je ne crois pas complètement à la sincérité de Finkielkraut lorsque, à de certaines occasions, il se dit encore de gauche. Du reste, l'expression même de "gauche tragique" qu'il aime à employer est fort révélatrice...

  • Si l'on veut glousser à défaut de rire franchement, on peut lire "le nouveau désordre amoureux" qu'il a cosigné avec Bruckner, où à la tristesse de la chair (de l'homme surtout) après le coït il oppose les possibilités merveilleuses d'un genre de tantrisme. Je ne crois pas qu'il soit responsable d'autre chose dans ce livre que des jérémiades anti-reichiennes mais bon il l'a signé tout de même !

    Fin de la minute futile, je vous laisse messieurs.

  • Lapinos se construit gentiment un univers intellectuel à lui, avec une réalité à lui, et des idées à lui reliées entre elles par une logique qui n'en est pas une qui n'a cours que dans son cerveau fécond. La façon dont il se fait coincer sur Finky (sur lequel je n'ai pas d'opinion vu que je ne l'ai pas lu, encore un lien logique qui n'a pas cours en Lapinie) montre que sa vision des choses est construite sur un ensemble disparate de lectures mal digérées. Vu la façon dont il comprend les réponses qui lui sont faites, on peut se faire une idée de la rigueur avec laquelle il lit.

    Je crois, Lapinos, que vous faites partie de ces malheureux qui n'apprennent jamais rien parce qu'ils n'entendent jamais chez les autres que ce qui confirme et enrichit leurs préjugés esthétiques. Je pensais que c'était un travers uniquement féminin.

  • Si je préfère prendre l'exemple de Finkielkraut plutôt que celui de Bruckner, Nadine, c'est que Finkielkraut est caractéristique d'une pensée totalement "nulle".
    Au meilleur de sa forme, Finkielkraut est en effet capable de dire dans la même phrase, une phrase qui fait plus d'une ligne évidemment, une chose et son contraire exact : la thèse, l'antithèse, mais il est incapable de faire la synthèse. Inconsciemment, il semble inconscient quand il fait ça, c'est un procédé rhétorique curieux, on ne peut pas contredire une pensée qui se contredit elle-même.

    Bref, même Derrida, en y réfléchissant bien, était moins caricatural, ne serait-ce que parce qu'il n'a pas bâti sa carrière sur les médias (mais sur l'inculture des Yankis, le fonctionnement capitaliste des universités étatsuniennes). Il est naturel quand on veut faire œuvre de caricaturiste de s'arrêter sur un type caricatural. Je pense que vous pouvez comprendre ça, Nadine. Vous n'êtes pas idéologue, vous, au point de penser que je doive me taper la lecture des œuvres complètes d'un philosophe minable pour pouvoir dire qu'il est minable ? J'adore cet argument philosophique idiot qui m'est servi à chaque fois.

    Au fait, je me permets de conseiller à tous les idéologues qui passent par ici, bien que moi-même je ne l'ai pas terminé ni appris par cœur, ni avalé ensuite, bien que je n'en ai probablement pas saisi en une lecture amusée toutes les subtilités, je leur conseille de s'offrir pour Noël le "Surmâle" de Jarry : ça leur fera le plus grand bien. Spécialement les idéologues.
    À vous Nadine, qui êtes plus raisonnable, je conseille plutôt Allais, réédité par Laffont : ça suppose d'être capable d'apprécier, peut-être pas la poésie, mais au moins la couleur des mots. Et dire qu'Allais était journaliste…

  • C'est quoi un idéologue, lapin ? Quelqu'un qui parle des auteurs ou des livres qu'il a lus ? Je croyais que c'était plutôt le contraire...

  • Mais pas du tout, Uhlan, on peut très bien avoir lu toute la philosophie ou toute la littérature de la terre, et même l'avoir apprise par cœur, et demeurer un idéologue.
    Cette idée enfantine de savoir universel ou complet est d'ailleurs plus ou moins derrière la tête des encyclopédistes.

    Je n'aime pas trop les définitions, qui sont une manière dangereuse d'aborder la réalité lorsqu'on n'est pas prévenu contre elles, mais je vois bien que seule une définition peut satisfaire votre esprit avide de solutions, Uhlan, alors mettons qu'un idéologue c'est quelqu'un qui pense que le langage englobe la réalité complètement (voire va au-delà pour certains), ou que la définition de l'objet englobe l'objet. Un idéologue c'est un mystique sans Dieu. Il y a certainement une dimension psychologique là-dedans, Gombrovicz l'a bien compris. Voulez-vous que nous abordions cette question ensemble ?

    Je vais être franc avec vous, Uhlan, comme je commence à en avoir marre de l'afflux d'idéologues sur mon blogue (Fromage+ étant le plus sympathique, son enthousiasme me plaît), j'ai décidé de concevoir un test pour détecter la contamination idéologique des uns et des autres. En fonction des résultats à ce test et après avoir fixé un seuil de tolérance, j'accepterai ou pas le dialogue.

    En tant que catholique marxiste, je suis tenu d'être un peu pragmatique et de progresser dans la réflexion : quand je vois que vous en êtes encore à citer des zéros comme Lévinas, Arendt ou Heidegger, ici, sur mon blogue, franchement je me dis : « Il est temps de faire table rase de ces vieilles lunes ! »

  • Allongez-vous sur les canapés mis votre disposition par la maison, buvez quelques verres et n'oubliez pas les capotes !

  • Lapinos consulte gratuitement.

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